Ces derniers temps, la capitale tchadienne épouse une nouvelle forme d’insécurité généralisée, entretenue par une force du troisième degré au vu et su de tous les services de renseignement militaire et de l’Agence Nationale de Sécurité (ANS), sans qu’aucune décision ne soit prise pour mettre un terme à cette myriade de bavure qui sème la psychose dans l’esprit de la population.
Tchad : la force d’appui aux régies financières sème un climat de psychose
Publié le 10.09.2018 à 11h16 par Cyrille Nono

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