Prenant part au dialogue national inclusif et souverain, Mahamat Assileck Halata a exprimé son mécontentement suite à la multiplication des partis politiques au Tchad.
Pour lui, l’argent que l’Etat reverse aux nombreux partis politiques, peut aider à résoudre certains problèmes sociaux. Il cite entre autres, problèmes d’eau, de santé et de d’éducation au Tchad. Pour Mahamat Assileck Halata, le nombre pléthorique de partis politiques ne comporte aucun avantage.
Il s’interroge sur le nombre pléthorique de partis politiques en ces termes : «Qu’est-ce qu’on va faire avec plus de 200 partis politiques ? » Il estime que pour être reconnu comme parti politique, il faut avoir minimalement, un siège dans la capitale et des représentants dans les provinces et de façon effective.
« Il y a des partis politiques qui ne représentent que leur personne, leur famille. C’est connu de tout le monde. Ils vivent sur le dos de l’État. Ce n’est pas un commerce. Que cela s’arrête », regrette-il.
Mahamat Assileck Halata souhaite que l’occasion qu’offre le dialogue national inclusif permette de refonder le Tchad.