Tchad : une tentative de coup d’Etat déjouée

Le chef d’état-major des armées, Abakar Abdelkerim, a produit un communiqué de presse ce vendredi 19 janvier 2023, pour signaler qu’un coup d’Etat a été déjoué au Tchad le 13 janvier 2024.

 

L’officier supérieur indique que le film s’est déroulé aux environs de 11 heures. « Un groupe d’individus armés qui avait une intention de déstabiliser les institutions de l’État », a été démantelé. Le chef d’état-major des armées, Abakar Abdelkerim se veut rassurant et en appelle à la quiétude.

En chiffre, plus de 80 militaires arrêtés.  Ils appartiendraient au groupe, dénommé M3M, dirigé par le lieutenant Kouroumta Levana Guelemi.

Les forces de défense et de sécurité ont pris le total contrôle et le président de transition est en place. Ainsi que le nouveau gouvernement de la 5ème République.

Nous y reviendrons.

 

Tchad : l’armée dément une tentative de coup d’Etat

Les informations relatives à une tentative de coup d’Etat au Tchad démenties par le porte-parole de l’armée, le général Azem Bermendoa Agouna.

A travers un communiqué du 13 décembre 2022, l’état-major des armées dément les informations circulant sur la toile faisant état d’un coup d’Etat depuis quelques jours. « un petit groupe d’officiers de l’armée nationale tchadienne manipulé par des civils projettent des actions tendant à perturber les institutions de la république », signale le porte-parole de l’armée, le général Azem Bermendoa Agouna.

Ce groupe d’hommes, faisait-il savoir,  était suivi par le service de renseignement militaire qui a mis fin à leur projet macabre en les interpelant aux fins d’enquête.

À cet égard, l’état-major général des armées rassure la population et l’invite à vaquer normalement à ses occupations. « Les renseignements militaires poursuivent leur investigation aux fins de neutraliser les perturbateurs. »

Toutefois, on alerte sur l’arrestation d’une dizaine de soldats et quelques officiers par la Direction générale des renseignements militaires depuis vendredi 9 décembre 2022. Les personnes arrêtées appartiennent pour la plupart au Pan Sahel Initiative (PSI).