Le président de l’UNET, Arserpe Dikreo Amose, a plaidé pour une meilleure organisation du service de restauration pour la nouvelle année qui commence.
Mettre fin aux plaintes répétées des étudiants, c’est l’appel lancé par le président de l’UNET, Arserpe Dikreo Amose au gouvernement.
« C’est vrai que le Centre national des œuvres universitaires (CNOU) traverse une crise. Mais nous voudrions les encourager pour qu’ils fassent plus d’efforts. Nous avons échangé avec le directeur général du CNOU. Il nous a fait savoir que l’année est arrivée à son terme et que d’ici quelques jours, ils vont revoir le contrat. L’année qui va commencer va être très bonne », a indiqué le président de l’UNET, Arserpe Dikreo Amose qui a appelé les prestataires à s’affranchir de reproches et de certains comportements.
Au centre de santé universitaire dans le département de sciences juridiques et politiques, la structure n’existe que de nom, fait savoir une infirmière. « Il n’y a même pas de médicaments, même pas de paracétamol depuis 2017. Le ministère de la Santé nous a affecté pour la bonne santé des étudiants », explique-t-elle.
D’après le président de l’UNET, le constat est que le centre de santé ne marche pas. « Nous venons de constater que le centre de santé n’a pas de produits. Le centre de santé est créé pour venir au secours des étudiants en cas de maladie en principe. Même si ça fonctionne, il n’y a pas de produits, le laboratoire n’existe pas et le matériel est gâté », indique Arserpe Dikreo Amose.
Le bureau national de l’UNET interpelle le gouvernement afin qu’il vienne en aide au centre de santé universitaire. Il estime que des produits doivent être envoyés très rapidement pour que les étudiants puissent être pris en charge.