Depuis son jeune âge, ce dernier œuvre pour la préservation et la consolidation de la paix dans son pays
« Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années », disait le célèbre écrivain, Pierre Corneille. Ce proverbe caractérise parfaitement le président de la Coalition des Associations de la société Civile pour l’Action Citoyenne (CASAC), M. Mahamoud Ali Séïd, Ce jeune, pour la préservation de la paix, la stabilité au Tchad, n’a pas attendu l’âge de la maturité pour s’exprimer.
La paix n’est pas forcément une affaire de vieillesse, le jeune peut bien sinon mieux l’entretenir. Déjà dès son jeune âge, Mahamoud Ali Séïd s’est engagé d’abord pour le bien-être de la population, avec son Association l’Action Citoyenne au Tchad (AACT).
Cette organisation a mené une guerre sans merci contre la vie chère, à travers une myriade d’actions sensibilisations dans les différents marchés du pays. Si aujourd’hui les Tchadiens arrivent à se nourrir avec des maigres moyens, l’AACT en a largement contribué. Aujourd’hui devenue CASAC, avec une centaine d’associations en son sein, Mahamoud Ali Séïd, s’engage à mener un combat pour la préservation de la paix et de la stabilité.
Teint clair, petite taille, avec un sourire toujours aux lèvres, son corps svelte, supporte difficilement, son combat pour la paix, ses grandiloquences, et ses compétences intellectuelles. Nanti d’un Master 2 en management, option Finances Publiques, obtenu dans un établissement d’enseignement supérieur public, en Algérie, Mahamoud Ali Séïd concilie aujourd’hui boulot et vie associative. Malgré ses multiples occupations inhérentes à son poste de directeur des Affaires Administratives, Financières et du Matériel à la Présidence de la République, l’homme dispose toujours d’un laps de temps, quand il s’agit de défendre la paix.
Il est jeune certes, mais traine derrière lui, une riche expérience tant professionnelle qu’associative. Après l’obtention de son baccalauréat série D en 2004, qui lui avait ouvert la porte d’Algérie, il est actuellement inscrit en thèse doctorale dans le même établissement public qui lui avait délivré son Master.
Déjà dans son pays d’accueil, il a été consultant en économie africaine dans plusieurs médias publics algériens (El Watan, radio Algerie, etc…). Ceux qui connaissant le paysage médiatique algérien en savent beaucoup. Partout où il est passé, ses interlocuteurs sont ébahis par son éloquence. Enseignant à l’Ecole Nationale l’Administration du Tchad (ENA), dès son retour au pays, il occupe plusieurs postes de responsabilité.
Chef comptable à la Centrale Pharmaceutique du Tchad (pharmat), Directeur général de la CPA (pharmat), administrateur du projet pour la micro finance au Tchad (retenu suite à un concours), directeur des Ressources Humaines au ministère de la Santé Publique, directeur de la Communication au ministère des Finances et du Budget, M. Mahamoud Ali Séïd, n’est plus un homme à présenter à l’administration Tchadienne.
Il a tout occupé grâce à ses compétences. Ses collaborateurs, dans les différents postes occupés peuvent en témoigner. Les élèves de l’ENA, ne vous diront pas le contraire non plus. Il constitue une idole pour certains. Car le président de la CASAC, a épaté plus d’un par la maitrise de son domaine et surtout l’exubérance dans laquelle il manie la langue de Molière.
Des panélistes de haut niveau ayant débattu avec lui en témoigneront.
D’ailleurs beaucoup des téléspectateurs en savent quelque chose quand il s’agit de parler des capacités langagières de Mr Mahmoud ali seid, il continue de recevoir incessamment des sollicitations diverses, lui demandant tantôt d’animer des conférences, et tantôt pour dispenser des cours.
Cependant, dans la vie quand l’homme évolue, accomplie normalement son devoir, il y a toujours des aigris qui, vent débout, voudrait mettre le bâton dans les roues. Depuis quelques jours, des activistes sur les réseaux sociaux s’attaquent à tout bout de chemin, à M. Mahamoud Ali Séïd. Car, un proverbe de la Bible est clair : « la jalousie est cruelle comme l’enfer, et ses ardeurs sont des ardeurs de feu ».
Des ragots, des intox, des « fake news », de falsification, usurpation d’identité, bref, un cocktail d’arsenal nauséeux est rassemblé pour écorner l’image de ce valeureux intellectuel made in Tchad. « De falsification en falsification, les occidentaux sont arrivés à dire que l’existence de l’Egypte en Afrique est un accident », dixit Joseph Ki Zerbo.
Comble des combles, et toute honte bue, ces soi-disant activistes sont arrivés à falsifier même des faux diplômes portant parfois le nom de Mr Mahmoud, et ceci comme toujours dans le seul et unique but d’écorcher son image ;Diantre, dans quel monde sommes-nous !
Des diplômes délivrés au Sénégal sont attribués au sieur Mahmoud, alors que ce dernier n’a jamais mis pieds en Afrique de l’ouest.
La photo de sa brillante soutenance ci-contre montre clairement que, ce diplôme qui circule sur le net, est juste inventé pour attenter à son image, parce que, les exilés rétifs à la paix, sont dérangés par ses actions.
Les étudiants ayant fait la même promotion que lui à l’ISGP université d’Alger) en 2009, en Algérie peuvent mieux édifier.
Tout ce qui se raconte sur la toile contre Mr Mahmoud n’est qu’élucubrations et verbiages fadaises ; Ce ne sont aussi que des inventions ahurissantes crachées par méchanceté gratuites pour certains, et à desseins pour d’autres.
Paraphrasant le célèbre écrivain Georges Bernanos, qui disait que « il en est peu d’entre nous qui n’aient été tentés à un moment donné de prendre pour la paix de leur conscience le confort et la sécurité de leur derrière ».