Du 17 au 18 août 2021, il se tient à N’Djamena l’atelier de plaidoyer de l’Action pour la Protection, la Santé, l’Environnement et la Lutte contre la Pénurie Alimentaire (APSELPA) sur l’intégration des thématiques au soutien psychosocial, la réduction et la gestion des risques de catastrophe
Les doléances de l’APSELPA vont à l’endroit du ministère de l’Éducation nationale et de la Promotion civique et du ministère en charge des Affaires sociales. Il s’agit du plaidoyer sur l’intégration des thématiques au soutien psychosocial, la réduction et la gestion des risques de catastrophe, et la protection dans les programmes d’enseignement public. Les travaux se déroulent dans l’enceinte du Musée national.
Dans son allocution, le directeur de l’APSELPA, Mahamat Ahmat Younous est confronté aux attaques des terroristes depuis 2014 au Lac Tchad. Bien plus, la situation politique en République Centrafricaine entraîne un problème de sécurité interne, occasionne d’énormes déplacements des populations qui trouvent refuge majoritairement au sud du pays. Il regrette que protection et de réduction des risques de catastrophe en milieu éducatif ne soit pas inscrit dans les curricula de formation de formation dans les zones en crise. Il envisage un soutien spécifique pour permettre aux enfants traumatisés des zones en crise puissent apprendre en reprenant contrôle sur eux-mêmes.
Le représentant du ministère de l’Éducation nationale et de la Promotion civique, Mirangaye Alio a demandé aux participants de mettre un accent dans les discussions pour que ces approches innovantes, riches dans le renforcement des programmes de formation des enseignants. Afin de maximiser sur les questions de protection de l’enfance en milieu scolaire.