Réflexions à Abidjan sur la technologie et la sécurité

Abidjan abrite du 7 au 11 novembre 2022 la 6e édition de la Session internationale de la réflexion stratégique (SIRS) avec 45 participants venus d’Afrique et d’Europe, dont 35 Ivoiriens.Cette conférence internationale qui réunit depuis 2015 des experts internationaux et nationaux sur la question de sécurité se déroulera durant cinq jours autour du thème « Technologie et sécurité-défense : quels enjeux pour l’Afrique ? ».

Les participants examineront le rapport entre technologie et sécurité lors de ces assises qui ont pour but le partage d’expériences afin de mettre en place des réflexions stratégiques, dont chaque pays pourra utiliser pour prévenir les menaces.

Dans un monde en pleine mutation, les États éprouvent le besoin d’innover sans cesse, pour être à la hauteur des enjeux sécuritaires du moment. Ce qui justifie cette rencontre qui des forces de sécurité et de défense de ces différents pays.

L’innovation, aujourd’hui, est un atout pour avoir une posture avant-gardiste face aux menaces sécuritaires multiformes. Elle permet également de développer des capacités d’anticipation de façon stratégique pour trouver des réponses aux enjeux de demain.

Conscientes de ces enjeux dans un développement d’une politique de défense et de sécurité en adéquation avec les menaces actuelles, les armées des pays africains accordent de plus en plus une attention particulière à cette question.

Plusieurs initiatives sont prises par les pays africains sur le plan politique, institutionnel, législatif et structurel. Cette session vise à permettre aux Etats de disposer de moyens technologiques innovants et des appareils sécuritaires performants et efficaces dans l’accomplissement de leurs missions régaliennes.

Cette 6e édition se veut, par ailleurs, un cadre d’analyse et de renforcement des capacités des hauts responsables de l’administration, du secteur privé et des forces armées africaines sur l’usage des technologies en matière de sécurité et de défense.  

Des experts mettront à la disposition des auditeurs, des outils de décryptage et des clés d’analyse relatifs au rôle joué par la technologie dans la construction d’un système de sécurité et de défense suffisamment solide pour assurer la stabilité d’un État.  

A l’ouverture des travaux, ; le directeur de Cabinet Jean-Paul Manlan, représentant le ministre d’Etat, ministre de la Défense, a souligné que ces assises sont d’une grande importance pour l’Afrique surtout pour la lutte contre le terrorisme.

La Côte d’Ivoire, dans ce contexte, a choisi de renforcer d’avantage l’une des fonctions stratégiques axées sur l’anticipation afin de permettre au pays dans certaines mesures de se mettre à l’abri des dangers potentiels.

Structure locale en charge de l’organisation de cet évènement, l’Institut d’études stratégiques et de défense (IESD), qui, depuis 2015 organise cette cession internationale, contribuera à éclairer les participants dans la prise des décisions stratégiques.

Cet institut qui ambitionne d’être une école nationale à vocation régionale, se positionne comme une structure de formation de haut niveau pour les cadres civils et militaires. Cette session est soutenue par partenaires notamment français depuis la première édition en 2015.

 

Ouverture à Abidjan du 21e concours d’agrégation du CAMES

Le Premier ministre ivoirien Patrick Achi a présidé lundi la cérémonie d’ouverture de ce concours qui regroupe 396 candidats issus de 13 pays africains.M. Patrick Achi s’est dit « ému » de l’organisation du 21e concours d’agrégation du Conseil africain et Malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), sur les bords de la lagune Ebrié. Il a été distingué dans l’Ordre international des Palmes académiques du CAMES.

Les disciplines visées dans ce 21ème Concours d’agrégation sont notamment la médecine humaine, la pharmacie, l’odontostomatologie, la médecine vétérinaire et productions animales. Les évaluations des candidats qui se dérouleront du 7 au 16 novembre 2022 seront soumises à un jury du CAMES.

Le chef du gouvernement ivoirien s’est félicité de ce que le CAMES s’impose comme une « organisation panafricaine de coopération scientifique, unique par son ampleur, et qui a la charge de la coordination des systèmes d’enseignement supérieur et de recherche de 19 pays ». 

Pour lui, le CAMES est une « organisation qui fait vivre et progresser l’unité de notre continent, accélère l’éducation de ses meilleurs talents, fait grandir la culture scientifique et universitaire, approfondit l’intensité des échanges intellectuels et incarne ce combat primordial pour le savoir ».

Depuis plus d’un demi-siècle, le CAMES n’a cessé de jouer ce rôle de vigie du savoir et de juge des excellences au profit des États membres de l’organisation, en mettant à la disposition des pays des ressources humaines et une recherche scientifique de qualité au service du développement.  

Le professeur Souleymane Konaté, élu en mai 2022 secrétaire général du CAMES, est le tout premier Ivoirien à occuper ce poste depuis la création du CAMES en 1968. La Côte d’Ivoire organise depuis 26 ans le tout premier concours d’agrégation en sciences de la santé, après ceux de 1988 et de 1996.

Burkina : Des proches de l’ex-président Damiba arrêtés

Des procédures judiciaires ont été enclenchées contre trois officiers de l’armée Burkinabè, proches de l’ancien président déchu, le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba.

Les capitaines Sidsoré Ouédraogo Hassan Diallo et Charles Ouédraogo, qui avaient accompagné le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba à Lomé depuis le putsch du 30 septembre, ont été mis aux arrêts par les autorités togolaises et remis à celles du Burkina. Ces officiers sont des pilotes qui avaient évacué Damiba vers le Togo à bord d’un aéronef de l’armée et n’étaient plus revenus au pays.  

Des procédures judiciaires sont en cours à leur encontre, affirme une source au sein de la justice militaire, jointe par APA. L’Agence d’information du Burkina (AIB) précise qu’ils sont « accusés de vol d’aéronef, de désertion et de préparer un complot contre les nouvelles autorités Burkinabè depuis leur terre d’exil ».

« Des messages interceptés par les hommes du Président Ibrahim Traoré auraient trahi les trois capitaines sur leurs intentions d’en découdre avec les nouvelles autorités. Ce qui a poussé Lomé à les renvoyer dans leur pays », a pour sa part, écrit la radio privée, Oméga Fm.

Le capitaine Sidsoré Ouédragodo est celui qui avait lu la déclaration du coup d’Etat du lieutenant-colonel Damiba, le 24 janvier 2022, marquant la fin du pouvoir de Roch Marc Christian Kaboré, premier président démocratiquement élu du pays.

Des sources concordantes voient la main du président déchu, Paul-Henri Damiba derrière les agissements des capitaines, alors que l’une des conditions de son exil à Lomé est justement qu’il ne tente « rien qui puisse déstabiliser les nouvelles autorités ».

Au lendemain de sa chute, le lieutenant-colonel Damiba s’en était pris au nouvel homme fort du pays, le capitaine Ibrahim Traoré et à ses camarades, les accusant d’avoir pris le pouvoir pour « des motivations individualistes et subjectives ». De leur côté, ces derniers avaient expliqué la destitution de Damiba par ses « choix hasardeux qui ont progressivement affaibli le système sécuritaire » du pays, en proie aux exactions des groupes jigadistes depuis 07 ans.

Le capitaine Traoré, 34 ans, conduit une transition de 21 mois, à compter du 02 octobre 2022, selon une Charte adoptée en mi-octobre par les forces vives de la Nation. 

COP27: Macky Sall pour une prise de conscience collective de l’urgence climatique

Le président sénégalais a plaidé pour une solidarité internationale devant permettre de faire face aux effets du changement climatique.« Soit, nous sauvons la planète, soit, elle disparaît avec nous (parce que) tout a été dit sur l’état d’urgence climatique qui nous réunit ici », a lancé, lundi, le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall depuis Charm el-Cheikh (Egypte) où s’est ouverte, la veille, la 27e Conférence des Nations unies sur le climat (COP27).

« Plus que jamais, il faut agir pour sauver la planète par la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le climat », a-t-il insisté, tout en invitant ceux qui polluent le plus à payer plus « pour aider à sortir la planète de son état d’urgence climatique ». Pour Macky Sall, président en exercice de l’Union africaine, le temps ne doit plus être aux promesses, mais à l’action pour sauver la planète.

Pour ce faire, « les pays qui sont, depuis plus d’un siècle, les responsables de ce réchauffement doivent prendre conscience qu’ils doivent aussi apporter leur contribution pour que toute la planète ne suive pas le même chemin. Ce qui nous précipiterait vers une destruction certaine de la planète », a indiqué Macky Sall.

Il a prévenu que « si l’argent n’est pas là, nous allons recourir aux mêmes sources énergétiques pour les aspirations du développement de l’Afrique. Nous avons plus de 600 millions d’Africains qui n’ont pas encore accès à l’électricité. Allez dire à ces populations : +attendez que la transition énergétique soit faite+ ».

Dénonçant le non-respect des engagements pris par les pays développés envers ceux sous-développés, le dirigeant sénégalais a estimé que « le moment est venu de mettre sur la table la responsabilité de chacun. Soit, nous sauvons la planète, soit elle disparaît avec nous ».

« Nous sommes disposés à travailler avec tous les partenaires pour que la COP de Charm el-Cheikh ne soit pas un constat de plus sur le péril climatique, mais une action de plus en faveur du climat dans l’intérêt des générations actuelles et futures », a-t-il dit.

Lors d’un point de presse tenu le 3 novembre dernier au siège de l’Onu, à New York, le Secrétaire général António Guterres a appelé les pays à reconstruire la confiance entre le Nord et le Sud à la COP27 pour éviter une catastrophe climatique.

Cela devrait notamment passer par la tenue de l’engagement pris par les pays développés à la COP15 en 2009 (au Danemark) de verser 100 milliards de dollars par an aux pays dits en développement à l’horizon 2020. Dénommé « Fonds vert climat », il doit financer des projets de lutte contre le réchauffement climatique et d’adaptation.

Mais selon Macky Sall, les premiers 100 milliards n’ont toujours pas été atteints.

RwandAir effectue son premier vol vers Londres

Pour booster cette ligne, RwandAir a proposé aux exportateurs de réduire les frais de transport à 0,95 dollar par kilogramme.Le vol inaugural direct Kigali-Londres Heathrow a décollé, dimanche soir, ouvrant un autre chapitre dans la campagne d’expansion de la compagnie aérienne rwandaise.

Le nouveau service remplacera le programme actuel vers la capitale britannique, qui a été assuré via Bruxelles au cours des cinq dernières années.

RwandAir desservait 29 destinations dans 24 pays d’Afrique, d’Europe, du Moyen-Orient et d’Asie avant de suspendre ses vols passagers en mars 2021.

En avril dernier, la compagnie aérienne a reconnu avoir été « fortement touchée » par la pandémie de Covid-19 et a dû mettre en œuvre plusieurs mesures temporaires de réduction des dépenses, notamment la réduction des salaires des employés afin de « protéger le bien-être futur de la compagnie et d’éviter de licencier du personnel ».

Sirops toxiques en Gambie : pas d’indemnisation pour les victimes

Les parents et les familles des enfants victimes des quatre sirops contaminés importés d’Inde ont refusé l’indemnisation de 20.000 dollars proposée par le ministère gambien du Genre.Le mois dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a attiré l’attention sur le décès de 70 enfants gambiens à la suite de ce que l’on appelle l’insuffisance rénale aiguë (IRA), contractée après avoir pris les sirops qui se sont avérés être contaminés par des substances toxiques.

Le gouvernement a déclaré qu’il enquêtait sur ces décès et a promis de punir les responsables du processus ayant conduit à l’importation de ces sirops, qui ont depuis été retirés par les autorités sanitaires nationales.

Les familles de ceux dont les enfants seraient morts d’insuffisance rénale aiguë ont formé un groupe pour faire pression sur le gouvernement afin qu’il enquête sur les décès et rende justice à ceux qui ont joué un rôle dans l’importation des sirops sans respecter les règles de santé et d’hygiène.

Leur président, Ebrima Sanyang, a déclaré qu’accepter les 20.000 dollars qui devaient être partagés entre les familles concernées serait une insulte à leur cause, à savoir obtenir justice pour les jeunes victimes.

Par ailleurs, le groupe s’insurge contre les affirmations de l’Agence gouvernementale de contrôle des médicaments (MCA, sigle anglais) selon lesquelles certains des décès seraient dus aux inondations qui ont caractérisé la saison des pluies en juillet et août derniers, et non à l’IRA.

Ils ont déclaré que cette déclaration du MCA avait minimisé la gravité de la question et ont demandé à l’agence de retirer cette déclaration qui a provoqué des tensions parmi les personnes directement touchées par cette tragédie.

Depuis que l’OMS a lancé une alerte mondiale sur les dangers de l’utilisation des sirops, leur fabricant, Maiden Pharmaceuticals, a été suspendu en Inde, qui a déclaré qu’elle enquêtait également sur les médicaments contaminés.

Bien qu’elle ait exprimé des regrets au sujet de la tragédie survenue en Gambie, l’OMS continue d’insister sur le fait que ses produits respectent des normes sanitaires internationales strictes.

L’Inde affirme que les produits de la société n’ont pas satisfait aux normes nationales de sécurité et sont donc interdits dans le pays.

Le Zimbabwe met en orbite son premier satellite

Le satellite est construit par des ingénieurs zimbabwéens travaillant avec l’Institut de technologie de Kyushu au Japon.La Zimbabwe Broadcasting Corporation informe que le satellite ZimSat-1 devait être initialement déployé dans l’espace international dimanche par le biais d’un vaisseau spatial, NG 18 Cygnus, qui devait décoller du Mid Atlantic Regional Spaceport de la National Aeronautics and Space Administration (NASA) en Virginie, aux États-Unis.

Le déploiement a toutefois été reporté en raison d’une alarme incendie dans certaines parties du bâtiment de contrôle.

Le satellite sera utilisé pour recueillir des données provenant de capteurs au sol à des fins de surveillance des conditions météorologiques et des catastrophes.

Il devrait, entre autres, fournir des analyses de données et des prévisions concernant la météo, la qualité de l’eau, la fertilité des sols, les glissements de terrain et la sécheresse.

En 218, le Zimbabwe avait lancé un programme spatial piloté par l’Agence nationale géospatiale et spatiale.

Ethiopie : Les belligérants vont discuter désarmement à Nairobi

Les parties belligérantes en Éthiopie vont se rencontrer dans la capitale kényane, Nairobi, lundi afin de tracer la voie à suivre pour le processus de désarmement qui faisait partie d’un récent accord de paix conclu en Afrique du Sud.Le gouvernement éthiopien et les rebelles du Le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) s’acheminent vers un nouveau palier après leur accord pour une trêve dans le conflit qui les oppose depuis deux ans dans le nord.

Le chef d’état-major des forces de défense éthiopiennes, le maréchal Berhanu Jula, et le chef du TPLF, Tadesse Worede, négocieront sur la manière de désarmer les rebelles qui mènent depuis deux ans un conflit avec les troupes du gouvernement fédéral.

Redwan Hussien, conseiller en sécurité auprès du Premier ministre, qui dirigeait la délégation éthiopienne lors des pourparlers de paix en Afrique du Sud, a déclaré que les deux chefs militaires avaient déjà eu une conversation téléphonique sur la manière de procéder après l’annonce de l’accord.

Les modalités de la prochaine étape devraient être discutées autour d’une table à Kenya sans qu’on sache les raisons du choix de ce pays alors que les deux dirigeants auraient pu se rencontrer en Éthiopie.

Le 2 novembre dernier, le gouvernement éthiopien et le TPLF ont conclu un accord qui a mis fin à deux années d’un conflit sanglant qui a fait des dizaines de milliers de morts et chassé plus de deux millions de personnes de leurs foyers.

Les groupes rebelles ont renoncé à leur revendication d’un pouvoir gouvernemental indépendant. En vertu de l’accord, la région du Tigré sera placée sous administration transitoire jusqu’à la tenue d’élections régionales organisées par le Conseil électoral national d’Éthiopie.

En principe, les rebelles ont également accepté la création d’une force de défense nationale unique dans le pays et ont reconnu les droits constitutionnels de la force de défense nationale éthiopienne à être déployée partout dans la région du Tigré.

Mekelle, qui abrite le siège du gouvernement régional, doit passer sous le contrôle des forces fédérales avec effet immédiat.

Les militants de l’ethnie Tigré basés dans la diaspora rejettent l’accord et font pression sur le TPLF pour qu’il y renonce.

D’autre part, les Éthiopiens, y compris ceux qui vivent dans la région du Tigré, ont exprimé leur soulagement de voir le conflit prendre fin.

Sénégal : l’arrestation d’un journaliste et la baisse du loyer font débat

Les quotidiens sénégalais, parvenus lundi à APA, titrent principalement sur les mesures présidentielles de baisse du coût de la vie et l’arrestation d’un journaliste critique du pouvoir.Le Soleil indique que le président Macky Sall a pris « onze mesures pour soulager les ménages ». Sans compter le loyer et les frais de scolarité, les prix des denrées de première nécessité, à savoir le riz brisé, l’huile de palme, le sucre, vont connaître une baisse.

Les Echos expliquent que les loyers seront diminués jusqu’à 20 % pour les locataires payant moins de 300.000 FCFA le mois et « les cautions fortement allégées ». Les inscriptions dans les établissements d’enseignement supérieur chutent également « de 5 à 10 % » en attendant la baisse des frais des usagers dans « le secteur de la santé ».

L’Observateur souligne que ces mesures contre la vie chère ont été prises le week-end dernier par le chef de l’État, ajoutant que « les acteurs économiques (sont) prêts à jouer le jeu dès ce mercredi ». Pour WalfQuotidien, la baisse annoncée des prix est une « recette salée » pour le gouvernement de Macky Sall, qui doit aussi faire face aux polémiques sur les plans politique et judiciaire.

En effet, le journaliste Pape Alé Niang a été arrêté hier après la divulgation de documents confidentiels de la gendarmerie, qui a mené l’enquête sur l’affaire « Sweet beauty » dans laquelle la masseuse Adji Sarr accuse l’opposant Ousmane Sonko de viols et menaces de mort. Le journaliste critique du pouvoir est accusé entre autres de « diffusion de fausses nouvelles, de violation du secret-défense ».

Libération explique que Pape Alé Niang a été arrêté de manière « rocambolesque » en centre-ville dakarois au moment où « il faisait changer un pneu de sa voiture ». Placé en garde à vue à la Sûreté urbaine de Dakar, il a confié à ses avocats avoir « été enlevé ».

« La démocratie sénégalaise est quotidiennement agressée par le régime actuel », déplore dans ce journal Déthié Fall, un des leaders de Yewwi Askan Wi (libérer le peuple, en langue wolof), la première coalition de l’opposition qui compte dans ses rangs Ousmane Sonko, arrivé troisième avec 15% des suffrages à la dernière élection présidentielle et considéré comme l’opposant le plus radical de Macky Sall.

Bénin : Bolloré Transport & Logistics en croisade contre le cancer du sein

Tout au long du mois d’octobre 2022, Bolloré Transport & Logistics au Bénin a pris part à l’initiative mondiale « Octobre Rose » pour soutenir la lutte contre le cancer du sein.Le lundi 31 octobre 2022 à son siège social à Cotonou, toutes les filiales du Groupe Bolloré au Bénin, se sont mobilisées pour organiser des séances de dépistages et des ateliers de sensibilisation afin d’insister sur l’importance primordiale du dépistage et du suivi médical régulier.

Le personnel de Bolloré Transport & Logistics Bénin, Bénin Terminal, SMTC, SOCOPAO, Bluezone, Canal Olympia Wologuédé et Canal+, ont participé avec un grand intérêt, à la séance d’information et de sensibilisation qui a conjointement été animée par le Docteur Zayd Olatoundji, spécialiste en gynécologie-obstétrique de la clinique Louis Pasteur et le docteur Athanase Sodjiedo, médecin d’entreprise de Bolloré Transport & Logistics au Bénin. 

« À travers ces actions de mobilisation contre le cancer du sein, Bolloré Transport & Logistics Bénin réaffirme son attachement en faveur de la santé de ses collaborateurs qui constitue une priorité essentielle. Cette journée de sensibilisation traduit notre volonté en tant qu’entreprise citoyenne d’informer et d’engager nos collaborateurs pour lutter efficacement contre le cancer du sein. », souligne Pierre NGON, Directeur Général Cluster Bénin-Niger de Bolloré Transport & Logistics. 

Octobre Rose est un événement international annuel de sensibilisation à l’importance du dépistage du cancer du sein et qui vise à recueillir des fonds pour la recherche contre cette maladie, durant tout le mois d’octobre. Le cancer du sein, qui touche en moyenne une femme sur huit, est aujourd’hui le cancer le plus fréquent dans le monde. 

À propos de Bolloré Transport & Logistics au Bénin

Bolloré Transport & Logistics au Bénin est un partenaire portuaire et logistique de référence au Bénin. Opérateur du premier réseau de logistique intégré en Afrique, Bolloré Transport & Logistics multiplie les efforts et les investissements pour accélérer l’intégration de l’Afrique dans le marché mondial. Au Bénin, l’entreprise emploie près de 1 300 personnes à travers 5 filiales qui déploient leurs activités dans les secteurs ferroviaire, logistique et maritime (consignation, manutention, transit). Confiant dans le potentiel de développement du pays, Bolloré Transport & Logistics investit sur le long terme au Bénin. 

Contact presse :

Francis Vikou, Responsable Communication – Bolloré Transport & Logistics au Bénin T +229 96 39 53 52 / +229 21 36 83 03 – francis.vikou@bollore.com