Maroc: Les transferts de la diaspora en forte hausse malgré la pandémie

En dépit de la crise Covid-19 et ses répercussions sur les économies, les transferts de la diaspora marocaine ont poursuivi leur hausse au cours des neufs premiers mois de 2021.En effet, les envois de fonds réalisés par les Marocains résidant à l’étranger (MRE) se sont élevés à plus de 86,48 milliards de dirhams (8,2 millions d’euros) à fin novembre 2021, contre 61,29 milliards de DH (5,8 millions d’euros) une année auparavant, selon l’Office des changes.

Ces transferts ressortent ainsi en hausse de 41,1% ou de 25,187 milliards DH (1 euro = 10,47 DH), précise l’Office dans son bulletin sur les indicateurs mensuels des échanges extérieurs du mois de novembre.

Ce bulletin fait aussi état d’un excédent de la balance des échanges de services en hausse de 5,9% à plus de 59,94 milliards DH.

Dans le détail, les exportations se sont améliorées de 9,1% pour se situer à 127,5 milliards DH à fin novembre 2021, et les importations ont augmenté de 12% à plus de 67,55 milliards DH.

Les voyages, principale composante des échanges de services, ont affiché un solde excédentaire quasiment stable par rapport à fin novembre 2020. Par rapport au même mois de 2019, période avant la crise de Covid-19, ce solde a enregistré une nette baisse de 58,7%.

En effet, les recettes voyages se sont situées à 31,96 milliards DH à fin novembre 2021, contre 31,72 milliards DH à fin novembre 2020.

Quant aux dépenses, elles se sont établies à 9,8 milliards DH à fin novembre 2021 contre 9,58 milliards DH une année auparavant.

Sénégal : les États-Unis soutiennent l’organisation du 9e Forum mondial de l’eau

Pour la réussite de l’événement, Washington apportera à Dakar son assistance technique en matière de coordination et de logistique.Le défi est immense ! C’est la première fois que le Forum mondial de l’eau se tient en Afrique subsaharienne. Du 21 au 26 mars 2022, la capitale sénégalaise va accueillir pas moins de 1000 participants représentant entre autres des États, institutions bilatérales et multilatérales, universités, organisations de la société civile et le secteur privé.

Dans cette perspective, les gouvernements des États-Unis et du Sénégal ont signé ce jeudi un protocole d’accord pour une bonne organisation du plus grand rendez-vous mondial consacré à la question de l’eau.

Washington, à travers l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID, sigle en anglais), vient ainsi se joindre aux autres bailleurs de fonds qui ont décidé de parrainer cette rencontre, en complément des quelques 24 millions de dollars engagés par le pays de la téranga (hospitalité, en langue wolof).

Ce Forum mondial de l’eau, dont le thème est « La sécurité de l’eau pour la paix et le développement », devrait contribuer à renforcer la capacité des Etats à répondre aux défis de l’eau et de l’assainissement. Organisé tous les trois ans depuis 1997, cet évènement est le plus important au niveau international à être dédié à l’eau. 

Le Forum mondial de l’eau est une plateforme unique permettant à la communauté internationale de l’eau et aux principaux décideurs de collaborer et de souscrire des engagements à long terme.

Rwanda-Egypte : un grand pas pour le renforcement de la coopération

Les deux pays entendent promouvoir un partenariat mutuellement bénéfique notamment dans le domaine de la lutte contre la Covid-19, ont déclaré leurs ministres des Affaires étrangères.Kigali a récemment abrité une réunion entre le ministre rwandais des Affaires étrangères et son homologue. Au cours de cette rencontre, les deux parties ont convenu de maintenir la dynamique des échanges de haut niveau.

Depuis les années 70, les relations bilatérales entre le Rwanda et l’Egypte sont essentiellement axées sur l’agriculture et la culture. Au fil du temps, la coopération s’est étendue à d’autres secteurs comme la santé, l’agriculture, le commerce, le transport et la sécurité, ont précisé les autorités des deux pays.

Le café vaut de l’or en Éthiopie

Au cours des cinq derniers mois, les exportations de grains de café ont rapporté plus de 515 millions de dollars américains au gouvernement éthiopien.L’Éthiopie est une terre de café. Dans ce pays de l’Afrique de l’Est, ce stimulant est généralement cultivé à flanc de montagne. Les recettes tirées du café ont augmenté de 240,81 millions de dollars lors des cinq premiers mois de l’année budgétaire éthiopienne par rapport à la même période de l’an dernier.

En valeur absolue, près de 140.000 tonnes de café ont été exportées, a annoncé ce mercredi l’Autorité éthiopienne du café et du thé (Ecta, sigle en anglais). Poursuivant, cette structure a informé que les objectifs en termes de volume et de revenus pour la période indiquée sont respectivement atteints à 123 et 114 %.

Jusque-là, l’Allemagne reste le principal marché du café éthiopien. Selon l’Ecta, 32.889 tonnes, soit 25 % du total du café exporté, ont été achetées par Berlin à 110 millions de dollars. L’Arabie saoudite (19.000 tonnes) et la Belgique (13.000 tonnes) complètent le podium des pays où s’exportent le mieux le café éthiopien.

Sierra Leone : l’entraîneur de l’équipe nationale de foot menacé de mort

John Keister, qui doit dans les prochains jours publier sa liste définitive pour la Coupe d’Afrique des nations, serait la cible d’intimidations.La Sierra Leone, vingt-six ans après sa dernière participation, va signer son retour à la Coupe d’Afrique des nations. Visiblement, tous les moyens sont bons pour ne pas rater ce rendez-vous continental.

John Keister, le sélectionneur des Leone Stars, aurait reçu une menace de mort s’il ne retenait pas un joueur. Pour le moment, le nom de l’athlète n’a pas été divulgué. Le technicien va bientôt choisir, parmi les 40 joueurs présélectionnés le 20 décembre dernier, les 28 qui vont défendre les couleurs de la Sierra Leone.

Pour sa troisième qualification à la Can après 1994 et 1996, ce pays de l’Afrique de l’Ouest est logé dans le groupe E avec l’Algérie, la Côte d’Ivoire et la Guinée équatoriale. Les Leone Stars feront leur entrée en lice dans la compétition le 11 janvier 2022 face à l’Algérie, championne d’Afrique en titre.

Soudan : les Nations Unies condamnent le pillage de l’aide humanitaire

Des sites de stockage de denrées alimentaires et d’équipements à El Fasher, au Darfour, ont été attaqués par des groupes armés.Le 28 décembre dernier, une installation du Programme alimentaire mondial (Pam) a été mise à sac d’après l’Organisation des nations unies (Onu). C’est la dernière d’une longue série d’attaques contre le déploiement de l’aide humanitaire au Soudan.

Ce jour-là, les assaillants ont emporté près de 2000 tonnes de denrées alimentaires qui auraient dû nourrir 730.000 personnes vulnérables pendant un mois, a regretté le porte-parole du Secrétaire Général de l’Onu, Stéphane Dujarric, dans un communiqué reçu jeudi à APA.

Déplorant cette situation, Antonio Guterres,  le Secrétaire Général de l’Onu,  a invité « le gouvernement soudanais à rétablir l’ordre et à veiller à ce que les biens qui appartenaient à l’ancienne mission de maintien de la paix des Nations Unies et de l’Union africaine au Darfour (Minuad) soient utilisés strictement à des fins civiles, conformément à l’Accord-cadre que le gouvernement a signé avec les Nations Unies en mars de cette année ».

En outre, il a appelé les autorités soudanaises à assurer la sécurité des opérations humanitaires restantes des Nations Unies à El Fasher, non sans exprimer sa gratitude au personnel civil et en uniforme de l’Onu qui est resté sur le terrain dans ces circonstances difficiles.

La Minuad a officiellement mis fin à ses opérations le 31 décembre 2020, après 13 ans de présence dans cette région de l’Ouest du Soudan.

Boycott présidentielle 2020: le Pdci « sans crainte » des procédures judiciaires

Le porte-parole du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, opposition), Soumaila Bredoumy, a déclaré mercredi que le parti répondra « sans crainte, ni peur » aux procédures judiciaires relatives aux exactions de la présidentielle de 2020.

« Le Pdci s’y rendra sans crainte ni peur de quelques procédures judiciaires que ce soit », a dit M. Soumaila Bredoumy, dans une déclaration du parti, en réaction à une conférence du procureur de la République qui évoquait de probables poursuites contre le chef du parti, Henri Konan Bédié. 

Le procureur de la République près le Tribunal de Première Instance d’Abidjan, Richard Adou, a fait état de faits  graves et d’actes criminels commis pendant les périodes pré et post électorales d’août à octobre dernier 2020, à l’occasion de l’élection présidentielle d’octobre 2020. 

L’autorité judiciaire a visiblement accusé les dirigeants des principaux partis politiques de l’opposition ivoirienne d’être les principaux responsables présumés des crimes commis pendant cette période. 

M. Richard Adou, a dans un élan réserve, énoncé la possibilité de poursuite contre l’ancien chef de l’Etat ivoirien Aimé Henri Konan Bédié, en sa qualité de chef de l’opposition, lors de la conférence de presse.

Pour le Pdci, l’article 54 de la loi numéro 2005-201 du 16 Juin 2005 portant statut d’ancien Président de la République, cité par le procureur « ne peut s’entendre que dans le cas où une élection régulière, conforme aux termes de la Constitution ivoirienne a pu se tenir ». 

Le Pdci estime qu’il y a eu une « violation fragrante de l’article 55 nouveau de la Constitution » et une « prétendue consultation qui est tout, sauf l’élection présidentielle du président de la Côte d’Ivoire qu’encadrent si fermement les dispositions constitutionnelles ».  

Ensuite, « l’on est en droit d’affirmer sans ambages que le troisième mandat et ses « supporters » sont les auteurs directs et indirects de la désobéissance civile, des exactions et violences qui ont suivi en octobre 2020 », a-t-il soutenu. 

Le 11 novembre 2020, M. Aimé Henri Konan Bedié a accepté une rencontre avec le chef de l’Etat, sur demande expresse des amis de la Côte d’Ivoire pour donner une chance au retour de la paix dans notre pays,  a-t -il rappelé. 

A la suite de cette rencontre, le président du Pdci a lancé le 9 décembre 2020 un appel solennel à l’apaisement et au renoncement définitif à la violence, pour rebâtir une nation sur la capacité collective des forces vives de réactiver ensemble les valeurs d’union et de paix par le dialogue.

« L’accalmie que connaît actuellement notre pays est le résultat de l’engagement du président du Pdci, soutenu par la volonté de paix et de démocratie à laquelle sont fermement attachés les leaders de l’opposition », a-t-il poursuivi. 

« C’est pourquoi, le Pdci prend à témoin la communauté nationale et la communauté internationale à aller à la table du dialogue véritable qui est susceptible d’effacer tous les germes de conflits et de palabres politiques qui minent la tranquillité des Ivoiriens et installent la Côte d’Ivoire dans la peur quotidienne de lendemains violents et fratricides », a-t-il conclu.  

Le rapport de l’Unité spéciale d’enquêté sur les exactions relatives à la présidentielle ivoirienne du 31 octobre 2020, indique que les violences ont fait 85 morts et près de 500 blessés de août à novembre 2020. Il mentionne que 233 personnes ont été interpellées dans la procédure. 

Prix du thon: des mareyeurs appellent le gouvernement ivoirien à « revoir » la mesure

Le président des mareyeurs importateurs du port d’Abidjan, Touré Mamadou, a appelé mercredi le gouvernement à « revoir » la mesure de plafonnement du prix du Kg de thon, au risque de « tuer » les opérateurs, lors d’une conférence de presse.

Le gouvernement a « plafonné (le 22 décembre 2021) le prix du Kg du poisson garba (faux thon), toute taxe comprise, appliqué par les détaillants de « garbadrome » à 850 Fcfa dans le District autonome d’Abidjan et dans un rayon de 300 Km; et à 900 Fcfa au-delà ».  

« Supposons que l’armateur accepte de nous vendre à 400 F CFA le kg.  Pour sortir le poisson du port, le Kg nous revient au minimum 650 F CFA, alors d’où sort le plafonnement des prix ? Qui supporte la perte ? L’État va compenser ça comment ? », a lancé M. Touré.

Pour le président des mareyeurs importateurs, l’Etat devrait tenir compte des pertes consécutives à cette décision, qui selon lui est « une grave erreur » qui devrait être corrigée, c’est pourquoi les acteurs demandent au gouvernement de « revoir sa position ».

À ses côtés, M. Touré Mamadou, avait M. Patrick Zasso, un acteur du secteur, qui a martelé que « les frais de douanes et du port restent trop chers, voir impossibles », mentionnant que « le thon à lui seul a trois types de dédouanements », ce qui rend les choses plus difficiles pour ses opérateurs.

Cette décision du gouvernement intervient suite à l’affaire de pénurie de thon. Airon, un gros importateur a récemment déclaré, à en croire M. Zasso, qu' »il avait une pénurie de thon en Côte d’Ivoire alors que le moment ne s’y prêtait guère ». 

M. Touré a fait remarquer que « pour fixer un prix qui s’applique à tous, il aurait fallu associer tous les opérateurs », car le cours du « poisson est comme le dollar, c’est flexible, ça monte, ça descend,  quand il y a poisson, il y a son prix, quand il n’y a pas de poissons, il y a son prix ».

Il a fait observer que pour faire bouger un thonier ou un bateau, il faut dépenser 300 millions. En outre, ce sont les Français, les Chinois et les Coréens qui opèrent en mer pour approvisionner le marché ivoirien.

Le thon vendu en Côte d’Ivoire, indiquera-t-il, vient des Îles Seychelles, du Ghana, pays voisin à la Côte d’Ivoire ou du Sénégal. Une fois au port d’Abidjan, le thon subit « trois taxes » et si cette décision est maintenue il pourrait avoir une pénurie. 

Dans cet élan, le président des mareyeurs importateurs du port d’Abidjan, Touré Mamadou, a plaidé pour que l’Etat de Côte d’Ivoire « élimine les taxes sur le poisson thon » au risque de « nous arracher la filière », voire sortir les Ivoiriens de ce secteur. 

Les étudiants ivoiriens exhortés à éviter les anti-valeurs et « les raccourcis »

Face aux anti-valeurs constatés en milieu estudiantin, les étudiants ivoiriens ont été exhortés, le 12 décembre 2021, à éviter « les raccourcis », à l’occasion d’une « Journée d’accueil des nouveaux bacheliers », tenue à PK 18.

Cette journée, organisée par l’Union Fraternelle pour l’Action et la Bienfaisance (Ufab), une ONG ivoirienne, a célébré certains de ses membres à travers une cérémonie, autour du thème « Les secrets du succès de la vie estudiantine et professionnelle ». 

En sa qualité de parrain, M. Soiliho Grambouté, chef de Cabinet au ministère du Budget et du portefeuille de l’Etat, a invité les étudiants à s’attacher au travail et à éviter « les raccourcis » dans les études et dans la vie.

 « Formez-vous, améliorez vos compétences, soignez vos comportements, et évitez les raccourcis », a conseillé M. Soiliho Grambouté, indiquant que « la vie, c’est d’abord le temps. Et le temps nous appartient tous ». 

« Si vous travaillez et que vous avez les compétences, les opportunités viendront à vous », a ajouté le parrain, qui a mis son auditoire en garde, notamment les étudiants, contre le choix de la facilité qui conduit au « broutage », l’anarque sur Internet.  

Le conférencier, Daouda Ballo, a également invité les étudiants au travail et à s’éloigner des anti-valeurs. Pour lui, ils devront avoir des modèles et des personnes qui les inspirent sur le chemin du bien. Car, aujourd’hui il y a « trop d’anti-valeurs que les jeunes copient ».  

Selon M. Ballo, le chef du Service Actes et Sigfae au ministère de la Fonction publique, l’étudiant doit avoir un objectif d’étude pour se donner des chances de succès. Et, pour atteindre ses objectifs, il doit avoir comme référence des personnes qui ont réussi dans leurs études.  

Il a toutefois prévenu que le succès ne viendra pas sans difficultés. Mais, « on ne fuit pas, on affronte la difficulté et on travaille pour s’en sortir. Les difficultés ne doivent pas être l’objectif, il faut les surmonter ».   

Poursuivant, le conférencier a mis les étudiants en garde contre les dérives du monde universitaire avec la mauvaise gestion de la liberté que ce milieu leur offre, tout en les invitant à se conformer aux enseignements de l’islam qui prône les valeurs.  

 « Vous ne devez pas être là où on casse, là où on triche », a-t-il insisté. De son côté, le président exécutif de l’Ufab-ONG, Inza Bamba, a exhorté l’assistance à prendre comme modèles, le parrain et le conférencier dont les « parcours sont motivants ».

« Ils sont une source de motivation pour nous, les plus jeunes. Tant par leur acharnement au travail, leur résilience face à l’épreuve, que leur statut professionnel aujourd’hui « , a-t-il justifié. 

L’Organisation non gouvernementale Ufa intervient dans le domaine social, notamment la santé et l’éducation en accompagnant ses membres dans les études, afin de cultiver les valeurs du mérite et de l’excellence. 

Abidjan abrite la Convention mondiale du cajou du 16 au 18 février 2022

Abidjan abrite du 16 au 18 février 2022, la 7e édition de la Convention mondiale (World cashew convention, WCC), couplée avec la 4e édition des Journées nationales des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire (JNEC-CI).

L’annonce a été faite, jeudi, sur les bords de la lagune Ebrié, par M. Issa Traoré, le secrétaire général adjoint de l’Association des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire  (AEC-CI), lors d’un point de presse, en présence de certains acteurs de la filière anacarde.

Ce symposium international vise à débattre des problématiques de la filière anacarde en Côte d’Ivoire et dans le monde autour du thème: « Soutenir la croissance du secteur de la noix de cajou en Afrique grâce à la transformation de la production et à l’exportation de la noix de cajou brute ».

Prévu du 16 au 18 février 2022, sur la route de l’aéroport d’Abidjan, les organisateurs attendent plus de 2000 participants, une cinquantaine d’entreprises qui exposeront leurs produits, 25 experts, sachants, chercheurs et panélistes. 

Comme pour les trois premières éditions des JNEC-CI, et au titre de son volet social, ce symposium sera aussi marqué par la décision de construction d’une école primaire dans une localité de la zone de production de la noix de cajou en Côte d’Ivoire, a-t-il dit.

Cet évènement sera organisé par le Bureau exécutif de l’Association des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire, en collaboration avec la World cashew convention qui a décidé d’honorer la Côte d’Ivoire pour la seconde fois en abritant la 7e édition de cette conférence mondiale.

Le Commissariat général du symposium, s’inscrivant dans la politique gouvernementale de la transformation locale, avait mobilisé en épilogue à la Convention, 75 chefs d’entreprises et investisseurs issus du secteur mondial de la transformation de la noix de cajou. 

Après sa première délocalisation, en terre africaine en Côte d’Ivoire pour la 6e édition du 12 au 14 février 2020, Abidjan accueille la 7e édition. La rencontre de 2020 avait enregistré une participation de plus de 2500 personnes venues de 37 pays.