Il est 11 h 38, mercredi 26 septembre au tribunal de première instance d’Eseka, petite commune située entre Douala et Yaoundé et dont le nom est désormais attaché à la catastrophe ferroviaire qui avait fait, selon le bilan officiel, 79 morts et plus de 600 blessés le 21 octobre 2016. A peine assis sur son siège, le juge Marcel Ndigui Ndigui prononce son verdict.
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