La justice ivoirienne a décidé d’ouvrir le procès de Guillaume Soro ce mardi 28 avril. Ce en dépit de la décision de la Cour africaine de droits de l’homme et des peuples ordonnant à l’Etat ivoirien de surseoir à l’exécution du mandat d’arrêt émis contre l’ancien président de l’assemblée nationale. Il est accusé de détournement et recel de fonds public, ses avocats ont décidé de ne pas prendre part au procès précipité. Ils qualifient cela de tentative d’exécution politique visant à rendre leur client inéligible.
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