Coupe arabe de football: Le Maroc surclasse la Palestine (4-0)

L’équipe marocaine de football s’est largement imposée face à son homologue palestinienne sur le score de 4 buts à 0, mercredi, en match du groupe C de la Coupe arabe des Nations de football qui se tient au Qatar.Les réalisations des Lions de l’Atlas ont été l’œuvre Mohammed Nahiri à la 31è minute, d’Abdelilah Hafidi, auteur d’un doublé (56è et 64è) et de Badr Banoun (87è, s.p).

Dans l’autre match du groupe, la Jordanie a pris le dessus sur l’Arabie Saoudite (1-0).

Covid-19/Vaccins : Pékin promet un milliard de doses à l’Afrique

La vaccination contre la Covid-19 a pris du retard en Afrique dans un contexte d’inquiétude croissante face à la propagation du nouveau variant, Omicron.L’Empire du Milieu veut aider l’Afrique à booster son taux de vaccination contre le nouveau coronavirus. Ce faisant, le président chinois, Xi Jinping, a promis de fournir un milliard de doses de vaccins au continent africain pour l’aider à atteindre son objectif de vacciner 60% de sa population d’ici à 2022.

Cette offre s’ajoute aux près de 200 millions de doses déjà offertes par Pékin à l’Afrique.

« Nous devons donner la priorité aux personnes et à leur vie, être guidés par la science, soutenir la renonciation aux droits de propriété intellectuelle sur les vaccins contre le Covid-19, et assurer véritablement leur accessibilité et leur caractère abordable en Afrique pour combler le déficit de vaccination », a déclaré M. Xi.

Il a fait la promesse par visioconférence lors de la huitième conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine (Focac) tenue les 29 et 30 novembre 2021 à Dakar (Sénégal).

Selon Xi, Pékin donnera 600 millions de doses sous forme de don. Les 400 millions de doses restantes seront fournies par une production conjointe de vaccins entre des entreprises chinoises et africaines.

La Chine aidera également les pays africains à mettre en œuvre dix programmes de santé et enverra 1.500 travailleurs médicaux et experts en santé publique sur le continent.

Côte d’Ivoire: réforme des établissements publics hospitaliers

Le gouvernement ivoirien a approuvé mercredi, en Conseil des ministres, neuf projets de décrets portant réforme des établissements publics hospitaliers, aux fins d’assainir le secteur et améliorer le plateau technique.

« Ces textes permettent de clarifier la situation qui a fait pendant longtemps débat, c’est celle des agents des services de santé qui exercent aussi bien dans le privé que dans le public », a dit à la presse le porte-parole du gouvernement, M. Amadou Coulibaly. 

Il a expliqué que cette réforme « permet d’établir une différence claire », avant d’ajouter « ou vous êtes dans le public ou vous êtes dans le privé ».  

Certains décrets consacrent l’attribution, l’organisation et le fonctionnement des établissements publics hospitaliers nationaux, régionaux et départementaux. D’autres, les groupements hospitaliers et le régime financier et comptable des établissements publics hospitaliers.

Les textes apportent aussi une réforme sur les modalités de passation des conventions hospitalo-universitaires, les modalités de validation et de signature des projets d’établissements hospitaliers et des contrats de performance . 

Ils définissent aussi les modalités de mise en place d’un système d’information hospitalier pour des établissements publics hospitaliers et les établissements hospitaliers privés, ainsi que les modalités de la mise en oeuvre de la prévention du contrôle de l’infection dans les établissements publics hospitaliers. 

 Ces décrets mettent en place un nouveau dispositif national de santé public déployé et de façon rationnelle et équilibrée sur l’ensemble du territoire national avec de nouvelles instances dirigeantes et un nouveau mode de fonctionnement, incluant les populations et les associations des usagers et les collectivités territoriales, a relevé M. Amadou Coulibaly. 

Seize syndicats du secteur de la santé publique, en Côte d’Ivoire, regroupés au sein de la faîtière syndicale Coordisante/Sycamci, ont suspendu le 20 novembre 2021 leur mot d’ordre de grève suite à « un accord formel » avec le gouvernement. 

La revendication majeure de la faîtière syndicale était « la mise en application de la loi portant réforme hospitalière, par la signature diligente de tous les projets de décrets transmis au secrétariat général du gouvernement par le ministre de la Santé ». 

Arrivée à Abidjan de Cyril Ramaphosa pour une visite officielle de 72h

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, est arrivé mercredi à Abidjan pour une visite officielle de 72h, en début de soirée à l’aéroport d’Abidjan, où il a été accueilli par son homologue ivoirien Alassane Ouattara et des membres du gouvernement.

L’avion présidentiel sud-africain, prévu atterrir à 17h25 GMT et heure locale, s’est posé sur le tarmac à 17h45. M. Ramaphosa a été accueilli par plusieurs personnalités institutionnelles, administratives et des chefs coutumiers. 

cette visite devrait permettre notamment de raffermir la coopération des deux pays pays, entre autres, dans les domaines de l’artisanat, du tourisme et des loisirs, afin de tirer le meilleur profit du savoir-faire et des potentialités dont regorgent les deux pays.

Selon des données officielles, « les échanges globaux s’élèvent à 370,908 milliards de F CFA en 2020, contre  291,030 en 2019, soit une augmentation de 79,878 milliards de F CFA, tandis que la balance commerciale reste toujours excédentaire au profit de la Côte d’Ivoire ».

Les produits exportés par la Côte d’Ivoire sont le caoutchouc, la noix de cajou, le bois et le cacao transformés, les huiles essentielles, les produits plastiques. Le pays importe  essentiellement les biens d’équipement  et de consommation, les produits pharmaceutiques, pétroliers et chimiques, les matériaux de construction, des papiers, cartons et plastiques.

En Côte d’Ivoire, « il n’a jamais été question d’une légalisation de l’homosexualité »

Le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, a déclaré mercredi qu’en Côte d’Ivoire, « il n’a jamais été question d’une légalisation de l’homosexualité », relevant que le mariage se fait entre un homme et une femme.

M. Amadou Coulibaly a réagi sur une affaire d’intention du gouvernement de vouloir légaliser l’homosexualité, notamment répandue sur les réseaux sociaux, à l’occasion d’un point de presse, au terme d’un Conseil des ministres.

« Malheureusement, nous sommes en pleine manipulation. Il n’a jamais été question d’une quelconque officialisation ou légalisation de l’homosexualité », a affirmé le porte-parole du gouvernement ivoirien. 

Il a expliqué qu' »il y a un mois, lorsque le représentant du gouvernement présentait ce texte et que certains députés se sont offusqués de ce bout de phrase orientation sexuelle, il a été retiré aussitôt et le texte a été adopté en Commission sans ce bout de phrase ».

Pour lui, « c’est un débat qui est clos depuis un mois. Mais comme nous sommes en pleine manipulation  (…) on a continué à faire grossir ce fait, alors que depuis un mois, le texte a été adopté en Commission sans ce bout de phrase ». 

« La preuve, il vient d’être adopté à l’unanimité par les Parlementaires » ce qui montre que « ce débat, on l’a créé artificiellement dans le corps social, mais dans les faits, il n’en était rien. Depuis un mois, en Commission, cette question avait été traitée », a-t-il poursuivi.

Le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, également ministre de la Communication,  des médias et de la Francophonie, a rappelé qu' »en Côte d’Ivoire, c’est la loi sur le mariage qui régit le mariage; et dans cette loi, le mariage, c’est entre un homme et une femme ».

Le Sénégal devient membre du World Logistics Passport

Dakar peut désormais s’appuyer sur ce réseau mondial de transport et de logistique pour diversifier son commerce.De par sa position géographique, le Sénégal dispose d’atouts considérables qui le positionnent comme acteur incontournable dans les échanges entre l’Afrique et le reste du monde. Conscient de ces avantages comparatifs, le World Logistics Passport (Passeport Logistique Mondial) a décidé de faire de Dakar son hub principal en Afrique de l’ouest, qui pourra ainsi bénéficier d’avantages commerciaux notamment vers l’Amérique latine qui représente moins de 1% de ses exportations.

L’implémentation officielle de cette initiative dont l’objectif est de renforcer le commerce et la logistique au Sénégal a eu lieu ce mercredi dans la capitale sénégalaise. Les entreprises sénégalaises peuvent désormais s’appuyer sur l’expertise mondiale des 25 hubs que comptent le WLP à travers le monde pour se développer.

Initiative publique-privée, le WLP est bâti sur trois piliers essentiels. D’abord, il y a l’amélioration de la gouvernance des acteurs clés dans le commerce et la logistique. L’objectif est de permettre au port, l’aéroport, les douanes et les zones de libre-échange de travailler de manière plus régulière et plus efficace.

Le deuxième pilier porte sur l’investissement. Le World Logistics Passport dispose d’un fonds de plus d’un milliard de dollar cofinancé par les Emirats Arabes Unis. Le Sénégal va en bénéficier pour améliorer la digitalisation du portuaire, de l’aéroportuaire, des douanes…

Le troisième et dernier pilier concerne des avantages de fidélité offerts aux entreprises en échange d’une croissance annuelle de 5% au niveau du hub du Sénégal. Ces privilèges portent entre autres sur l’accès prioritaire au débarquement dans le port, l’inspection prioritaire au niveau des douanes, des jours supplémentaires de stockage pour les entreprises et un service accéléré entre le port et l’aéroport pour la distribution du fret.

« Tous ces éléments sont là pour arriver à un minimum de 20% de réduction des coûts et 20% du temps pour les entreprises qui seront spécialisées dans le domaine des échanges commerciaux et de logistique au Sénégal », a déclaré le Directeur des relations internationales du WLP, Anthony O’Sullivan.

Se félicitant de l’aboutissement de ce processus, le secrétaire général du ministère sénégalais de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Alioune Ndiaye, a fait savoir que le WLP « est une opportunité pour le Sénégal de moderniser davantage ses infrastructures de transport mais aussi d’accroître ses échanges commerciaux, ses recettes douanières et fiscales. »

Afrique centrale : les dirigeants appelés à améliorer le climat des affaires

La Chambre africaine de l’énergie (AEC, sigle en anglais) déclare que les « nouvelles réglementations restrictives des changes » de la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) constituent une menace pour les flux d’investissements étrangers dans la région.Dans le classement Doing Business de la Banque Mondiale en 2020, six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) sont dans « les pires positions », a constaté Leoncio Amada Nze, président de la région Cemac pour la Chambre africaine de l’énergie (AEC, sigle en anglais).

Il s’agit du Cameroun (167e), du Gabon (168e), de la Guinée équatoriale (178e),  du Congo (180e), du Tchad (182e), et de la Centrafrique (184e) sur 190 pays. « Cette image doit changer ou nous ne sortirons jamais de la crise qui décime nos économies », a soutenu M. Nze au cours du Forum de l’énergie et des affaires de la Cemac organisé à Brazzaville, au Congo, le 30 novembre.

À en croire le président de la région Cemac pour la Chambre africaine de l’énergie, les politiques fiscales en Afrique centrale, « les pires » sur le continent, ne permettent pas d’y investir des ressources internes et externes.

Pour cet expert, « la Cemac a besoin d’être réformée. Ce n’est plus compétitif. Les dirigeants doivent laisser tomber leur ego et écouter les entreprises et les citoyens. Nos taux d’imposition sont très élevés. Nous devons permettre aux investisseurs d’investir plus facilement en Afrique. À moins que des mesures importantes ne soient prises pour améliorer la facilité de faire des affaires, la région continuera de connaître une réduction des investissements ».

De son côté, NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie, a fait savoir que « la réglementation du forex de la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) tue le secteur de l’énergie, les entreprises, et les économies locales, plus que les entreprises étrangères, en augmentant le coût des affaires ».

Face à cette situation, Leoncio Amada Nze a dit que les institutions financières de la Cemac doivent être « au service des aspirations de croissance », car a-t-il assuré, « la situation financière actuelle ne peut pas amener la région là où elle doit être en termes de développement économique pour créer des emplois car le secteur bancaire est quasiment absent ». 

La Banque des États de l’Afrique centrale impose des règles plus strictes sur les transferts de devises et les paiements. Cette mesure vise, selon l’institution financière, à protéger les réserves de change en baisse dans la région.

Mais de l’avis des dirigeants et des parties prenantes de l’industrie énergétique africaine, les nouvelles réglementations « découragent les investissements et entravent la croissance du secteur privé en augmentant les coûts de transaction et d’exploitation et en limitant l’accès au financement étranger pour les entreprises locales ».

En Afrique centrale, les activités liées au pétrole et au gaz représentent 70 à 75 % du Produit Intérieur Brut. En adoptant de nouvelles réglementations, la Beac rend « particulièrement vulnérable » ce secteur qui « a du mal à attirer de nouveaux investissements étrangers ».

RDC : plus de 70 déplacés internes tués en dix jours (HCR)

Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) se dit « consterné » par ce regain de violence.La barbarie des groupes armés en République démocratique du Congo ne semble pas avoir de limites. Selon un bilan du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), plus de 70 civils sont morts à coups de couteau, de machettes et par armes à feu en dix jours.

« Lors du dernier incident, dimanche 28 novembre, au moins 26 personnes (dont dix femmes et neuf enfants) ont été tuées sur le site de Ndjala, dans la province de l’Ituri », indique un communiqué de l’agence onusienne reçu mercredi à APA.

Sept jours plus tôt, 44 individus ont perdu la vie à Drodro. Plus de 1200 abris ont été détruits dans cette localité et près de 1000 autres à Tché. Cette série d’attaques contre des camps de déplacés dans l’Est du pays a entraîné « un déplacement massif de la population » notamment vers Roe où le site des déplacés est protégé par les Casques bleus de la Mission de l’Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (Monusco).

Dans un autre assaut, mené le 14 novembre à Mikenge, au Sud-Kivu, six enfants et une femme enceinte ont péri. Lors d’un point de presse, tenu à Genève (Suisse), Boris Cheshirkov, porte-parole du HCR, a souligné que « pas moins de 20.000 civils » ont trouvé refuge à Roe. Avec cet afflux,  « ce site, proche d’une base militaire de la Monusco, a doublé de taille. Il est passé de 21.000 à 40.500 habitants en moins de 48 heures », a-t-il précisé.

Conséquence, les nouveaux arrivants sont obligés « de dormir à la belle étoile », a regretté M. Cheshirkov. D’après le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, 5 millions de personnes ont été contraintes de fuir leurs foyers en République démocratique du Congo, soit une hausse de 400.000 personnes par rapport à début 2021.

« Le vol de bétail, qui accompagne souvent les raids, aggrave l’insécurité économique », a fustigé le porte-parole du HCR. Dès lors, l’agence onusienne a appelé toutes les parties à « respecter le caractère civil et humanitaire des sites de déplacement » et à « garantir l’accès aux sites » pour que les acteurs humanitaires fournissent « une assistance essentielle aux réfugiés ».

Sénégal: Politique et Infrastructure au menu de la presse

Les quotidiens sénégalais parvenus mercredi à APA titrent principalement sur la recomposition en vue du jeu politique, le procès en appel de Barthélémy Dias et le lancement des travaux du pont de Rosso.L’Observateur titre sur « le coup fourré de Macky » avec Karim Wade, Khalifa Sall et « le plan d’isolement de Sonko ». Walf Quotidien explique « comment Macky entend rester le maître du jeu » par la réhabilitation de Karim et Khalifa, condamnés pour malversations.

Le journal souligne toutefois que Taxawu de Khalifa Sall n’est « pas emballé » là où le Parti démocratique sénégalais « fait le mort ».

Sur le procès en appel ce mercredi du maire Barthélémy Dias, Sud Quotidien annonce un « avis de tempête sur Dakar ». Pour Vox Populi, « Barth pourrait citer Macky Sall comme témoin » dans cette affaire « dite Ndiaga Diouf » qui remonte à 2011.

Par ailleurs, le journal constate que le candidat à la mairie de Dakar était sans pression hier puisqu’il faisait des visites de proximité à la Médina, à la périphérie du centre-ville de la capitale.

EnQuête s’intéresse aux violences en période électorale qui constituent « un mal chronique ». Le quotidien note que Macky Sall a « bien accueilli la charte de non-violence » tandis qu’Ousmane Sonko et Cie « sont sur la défensive ». Pour Ass Guèye du parti Rewmi (mouvance présidentielle), « cette violence est amplifiée par les réseaux sociaux, avec une jeunesse à fleur de peau ».

C’est dans ce cadre d’ailleurs que L’AS renseigne que l’ancien ministre de la Justice Ismaila Madior Fall a été choisi « pour briser la mafia Kacc Kacc », une expression utilisée par le chef de l’Etat alors qu’il dénonçait les dérives dans les réseaux sociaux.

Sur un autre sujet, Le Soleil monte sur « le pont de l’intégration », indiquant que les travaux de l’ouvrage de Rosso entre le Sénégal et la Mauritanie ont été lancés hier par les présidents des deux pays. Pour le quotidien national, cette infrastructure de 1,5 km de long sera « un maillon essentiel du corridor Tanger-Nouakchott-Dakar-Lagos ». Elle sera financée à hauteur de 60 milliards de FCFA pour des chantiers qui vont durer trente mois.

Sur la propagation du nouveau variant de Covid-19, Le Quotidien souligne que « le Sénégal ferme l’omicron ». En effet, le Conseil national de gestion des épidémies (CNGE) a « réactivé le dispositif de la prise en charge ».

Education, tourisme et santé au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce mercredi se focalisent sur nombre de sujets notamment la volonté du gouvernement d’améliorer la qualité de l’éducation, Tourisme/indemnité Covid: les critères d’éligibilité revus, l’enseignement au Maroc et l’hypothèse de l’arrivée du variant « Omicron » au Maroc.+L’Economiste+ écrit qu’après plus de 21 mois de quasi-inactivité des entreprises touristiques, les critères d’éligibilité à l’indemnité Covid-19 sont dépassés. Les opérateurs du tourisme s’attendent à ce que le gouvernement revoie du tout au tout les conditions d’attribution de l’indemnité forfaitaire.

Parmi les critères qui sont devenus obsolètes, figurent le maintien de 80% des employés, la baisse du chiffre d’affaires d’au moins 50%, la période de référence, l’exclusion des nouvelles recrues.

+Aujourd’hui Le Maroc+ souligne que « agilité, innovation, qualité et éco- responsabilité », sont les quatre leviers de développement sur lesquels s’articule la nouvelle vision des textiliens. Une feuille de route qui sera déclinée à l’horizon 2035 enclenchant dans le secteur une transformation profonde de son amont.

Les grandes lignes de ce dispositif, baptisé «Dayem», ont été dévoilées, mardi, par l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (AMITH) marquant ainsi une nouvelle étape dans le développement de la branche «textile et habillement».

+Le Matin+ rapporte que Renault Commerce Maroc étoffe son réseau. Le Groupe a inauguré récemment un nouveau site dans l’Eco-cité Zenata dans la commune d’Aïn Harrouda.

Avec un investissement de 30 millions de DH, la nouvelle infrastructure s’étale sur une superficie de 2.400 m² dont 500 m² sont dédiés au showroom des véhicules neufs, précise le quotidien.

La nouvelle succursale couvre l’ensemble des activités commerciales et de services de Renault Commerce Maroc à savoir la vente de véhicules neufs des marques Dacia et Renault mais également les véhicules utilitaires. Les véhicules d’occasion y seront commercialisés à partir du 1er trimestre 2022.

+L’Opinion+ relève que les acteurs du secteur oléicole espéraient une production record pour l’année 2021. Les aléas climatiques ont toutefois imposé de revoir ces ambitions à la baisse.

Malgré tout, la campagne actuelle affiche des résultats honorables avec près de 1.9 million de tonnes de production prévue, soit une augmentation de 20% par rapport à l’année dernière. La filière oléicole, qui joue un rôle socio-économique important au niveau national, capitalise actuellement sur les acquis qu’elle a pu constituer durant ces dernières années tout en continuant son élan vers une meilleure structuration et, surtout, vers une augmentation des rendements, des niveaux de qualité et des volumes destinés à l’export, écrit la publication.

+Libération+ se fait l’écho d’une déclaration du professeur El Mustafa El Fahim, responsable à la plateforme génomique fonctionnelle du Centre National de Recherche Scientifique à Rabat (CNRST), qui a indiqué que le variant « Omicron » présente des particularités rares, dont un grand nombre de mutations, un fait « vraiment inquiétant ».

Il a expliqué que « ce variant est préoccupant en raison de ses rares spécificités, notamment son nombre élevé de mutations, qui sont passées de 30 à 52 », notant que « ce nouveau variant est caractérisé par des mutations qui augmentent la vitesse de propagation du virus ce qui le rend résistant au système immunitaire acquis par les vaccins ».

+Al Massae+ fait savoir que le chef de gouvernement Aziz Akhannouch a défendu avec force les conditions imposées par Chakib Benmoussa, ministre de l’Éducation nationale, du préscolaire et des Sports, pour passer le concours d’accès au métier du professeur, saluant le travail qu’il accomplit et la démarche qu’il adopte pour mettre en œuvre une véritable réforme du système de l’éducation et de la formation.

Il a par ailleurs affirmé que son gouvernement ne se contentera pas de gérer le fait accompli, mais s’efforcera plutôt de chercher des solutions.