Tchad : vers une Commission mixte entre l’Assemblé nationale et le Sénat

Le président de l’Assemblée nationale, Ali Kolotou Tchaïmi en concertation avec les présidents des groupes parlementaires, le 2 juin 2025 pour renforcer la collaboration interparlementaire dans la mise en place d’une Commission mixte avec le Sénat.

 

Cette rencontre avait pour objectif d’opérationnaliser la collaboration entre l’Assemblée nationale et le Sénat, dans le cadre du renforcement du bicamérisme. Au centre des discussions figurait la désignation des neuf députés appelés à siéger au sein de la Commission mixte paritaire, organe clé chargé de poser les fondements juridiques et fonctionnels d’une coopération structurée entre les deux chambres. Cette commission aura pour mission d’élaborer les mécanismes de fonctionnement ainsi que les textes législatifs encadrant la complémentarité et l’harmonisation des travaux parlementaires.

Dans son adresse, le président de l’Assemblée nationale a insistant sur la nécessité de préserver un climat de travail serein et constructif. Il a souligné que l’unité et l’efficacité des groupes parlementaires constituent des leviers essentiels pour le bon fonctionnement de l’institution, au service de l’intérêt général.

Tchad : une opération de contrôle mixte saisit plusieurs véhicules à N’Djamena

Ce lundi 24 août 2020, une commission mixte de contrôle des documents de véhicule a mené des opérations à N’Djamena. Des véhicules dont les taxes n’ont pas été payées ont été saisis

La commission et composée est constituée de la douane et les éléments de forces de l’ordre et de sécurité. Des voitures de marques diverses ont été arrêtés à partir du rond-point de Farcha. D’après les premières données, ces usagers n’ont pas les pièces des différents engins. Ils circulent en totale clandestinité et ne favorisent pas trésor de s’épanouir.

Bien que certains chauffeurs aient essayé des parents ou connaissances pour les sortir d’affaire, aucune solution n’a abouti. La commission est restée ferme au principe selon lequel, tout usager doit payer ses taxes avant la restitution des véhicules.  Les éléments de forces de l’ordre ont précisé à certains chauffeurs que l’ordre vient de la haute hiérarchie et devrait être appliquée. Même les hauts cadres dont les taxes n’ont été payées ont été stoppés par les éléments en charge du contrôle des pièces.

Certaines sources ont rapporté que cette opération fait suite à la constatation de la circulation illégale de plusieurs véhicules dans la capitale. Lesquels véhiculent entrent frauduleusement par le Nord-Est du pays et se vendent par le même procédé. « Il est temps de remettre l’ordre », a déclaré un gendarme vraisemblablement mécontent.