Le chemin vers un revenu stable : comment Ousmane est devenu un partenaire à succès de 1xpartners

Le marketing d’affiliation dans le secteur des paris : de réelles opportunités de croissance.

 

Le marketing d’affiliation continue de gagner en popularité comme l’un des moyens les plus accessibles et rentables de générer des revenus en ligne. Cela est particulièrement vrai dans des secteurs très concurrentiels et en forte croissance, tels que celuis des paris en ligne.

Aujourd’hui, nous vous racontons l’histoire d’Ousmane — un partenaire actif de 1xpartners originaire du Sénégal — qui partage son expérience, ses stratégies et ses résultats.

Le début de la collaboration : quand la marque parle d’elle-même

Ousmane a rejoint le programme d’affiliation 1xpartners en décembre 2021. Il explique que plusieurs éléments ont influencé sa décision :

« J’ai choisi ce programme pour la forte réputation de la marque, la qualité des produits et l’efficacité de l’équipe. Tout est transparent et rapide — c’est ce qui m’a immédiatement convaincu ».

Depuis, ce partenariat est devenu une partie intégrante de son activité en ligne.

Ses méthodes de travail : l’engagement par le contenu et la personnalisation

Pour attirer les joueurs, Ousmane utilise des outils éprouvés :

  • la création de contenuы intéressants et utiles ;
  • une présence active active sur les réseaux sociaux ;
  • l’optimisation pour les moteurs de recherche (SEO)  ;
  • des recommandations personnalisées, adaptées aux besoins de son public cible..

Selon lui, la clé du succès ne réside pas dans la quantité, mais dans une communication précise et honnête avec les clients potentiels.

Les résultats financiers et sa philosophie de travail

L’un des aspects les plus inspirants de son parcours est la stabilité de ses revenus. En moyenne, Ousmane déclare gagner entre 4 000 et 7 000 dollars par mois, avec un pic mensuel atteignant 8 000 dollars.

Il souligne :

« Mon succès repose sur la constance, la créativité et la compréhension de mon audience. Ces trois éléments sont la base de tout ».

Les défis surmontés et la progression

Comme dans toute entreprise, le marketing d’affiliation comporte des défis. Mais Ousmane affirme qu’ils peuvent être transformés en opportunités de croissance.

« Je suis toujours à l’écoute de mon audience, j’adapte mes stratégies quand c’est nécessaire, et je bénéficie du soutien de l’équipe 1xpartners. Cela m’aide à ne pas abandonner ».

Conseils pour ceux qui débutent

Aux nouveaux partenaires, Ousmane recommande :

  • de garder la motivation ;
  • d’analyser leur audience cible ;
  • de ne pas hésiter à demander de l’aide à l’équipe du programme — un soutien précieux.

Des idées pour aller plus loin : hors ligne et ambassadeurs locaux

Ousmane propose également une idée originale d’amélioration : ouvrir des kiosques physiques dans les villes où l’accès à Internet est limité. Selon lui, cela permettrait de toucher une nouvelle population.

Il envisage aussi de lancer des campagnes publicitaires avec des célébrités sénégalaises, notamment dans des séries télévisées locales — un moyen efficace, selon lui, de renforcer la confiance et d’élargir sa portée.

Conclusion : un partenariat qui donne des résultats concrets

L’histoire d’Ousmane montre que le marketing d’affiliation avec 1xpartners n’est pas réservé aux experts. C’est une opportunité accessible à toute personne motivée, prête à apprendre et à progresser. Son parcours est un exemple de ce que la détermination et le bon choix de programme peuvent accomplir.

Rejoignez 1xpartners et écrivez votre propre histoire de succès.

Et si on repensait ensemble les transferts d’argent vers l’Afrique ?

Chaque année, la diaspora africaine envoie des dizaines de milliards de dollars vers le continent (près de 100 milliards en 2023).

 

Des milliards qui représentent des montants plus importants que l’aide publique au développement et plus importants que les investissements directs étrangers.

Ces transferts d’argent sont bien plus que de simples transactions : ils sont le reflet d’un lien fort, d’une solidarité constante, d’une volonté d’agir, même à distance.

Ils racontent les sacrifices de celles et ceux qui, installés ailleurs, continuent de porter l’Afrique dans leur cœur, dans leurs responsabilités et dans leur portefeuille.

Mais quel est l’impact réel de cet argent ?

C’est une des nombreuses questions que beaucoup parmi nous ressentons au fond de nous-même.

  • Au vu des montants importants de transferts d’argent vers l’Afrique, à quel point sommes-nous satisfaits de leur utilisation ?
  • Ces transferts peuvent-ils être servir pour réellement développer le continent ? Si oui, comment pouvons-nous faire pour y parvenir ?

Et si on y réfléchissait ensemble ?

Nous lançons une grande étude sur les transferts d’argent vers l’Afrique par la diaspora dans une démarche de réflexion collective pour explorer ces questions cruciales.

Parce que nous sommes convaincus que les meilleures idées viennent de ceux qui vivent la réalité des situations et parce que nous croyons fermement que des réponses et solutions existent déjà dans nos esprits, nous avons mis en place ce questionnaire ouvert à tous les membres de la diaspora.

A travers ce questionnaire, nous souhaitons engager un dialogue fécond avec toute la diaspora africaine qu’elle soit basée en Afrique, Aux Amériques, En Asie, Dans la Caraïbe, en Europe, En Océanie ou ailleurs.

Nous le pensons comme un outil pour comprendre les réalités, identifier les blocages et les leviers, capter les idées.

Ce questionnaire n’est pas une fin mais Il est un début : le début d’une réflexion structurée, le début vision partagée, le début d’une communauté d’action et pourquoi pas le début de nouveaux modèles de solidarité.

Pourquoi répondre ?

  • Parce que chaque voix de la diaspora africaine compte dans ce débat essentiel
  • Pour partager nos expériences, nos visions et nos idées sur les transferts d’argent vers l’Afrique
  • Pour participer à la co-construction de réponses concrètes et adaptées à nos réalités

Prenons le temps de la réflexion.

Répondons au questionnaire en cliquant sur le lien suivant : https://tally.so/r/mOkJ98

Partageons le questionnaire autour de nous, à toute la diaspora.

Chaque contribution est indispensable pour atteindre l’objectif de 2 000 réponses minimum.

Merci infiniment

Steve Pentang pour The Seeds

PS :

Une version en anglais du questionnaire est disponible sur le lien suivant : https://tally.so/r/mVDWQM

Qui sommes-nous ?

Nous sommes The Seeds (www.the-seeds.net), une initiative africaine visant à contribuer à la libération du potentiel de l’Afrique à travers notamment l’accompagnement de l’entreprenariat.

Source : https://www.un.org/osaa/news/digital-remittances-africa

Conseils utiles pour le jeu responsable : qu’est-ce qu’une bankroll et comment la gérer ?

Dans les paris, le concept de « bankroll » désigne un certain montant alloué spécifiquement aux paris. Ce n’est pas un salaire ni des économies, c’est de l’argent dédié spécialement au divertissement. Il s’agit d’un budget de jeu séparé qui vous permet de jouer confortablement et avec plaisir, sans vous sentir stressé.

 

Des limites financières aussi claires aident à éviter les décisions impulsives et à améliorer la qualité du jeu. Une bankroll permet de contrôler vos ressources : c’est un outil pour une approche consciente qui fait du jeu une partie de la vie, et non l’inverse.

Comment déterminer votre bankroll idéale ?

La règle principale : n’utilisez que l’argent qui n’est pas impliqué dans des dépenses importantes. Les paris sont un divertissement et non une source garantie de profit.

Établissez un budget mensuel

Soustrayez les dépenses obligatoires (loyer, nourriture, transport)

Divisez le reste : 10 à 15 % – c’est votre « zone de confort » pour le jeu

Conseil : suivez vos dépenses dans un tableau de calcul ou une application pour vous aider à mieux comprendre vos habitudes.

Des formules qui fonctionnent

Formule de bankroll :

Bankroll = 10 % de revenu libre

Par exemple : à partir d’un solde restant de 5 000, vous allouez 500 – c’est un montant sûr pour parier.

Formule de pari :

Mise = 1 à 5 % de la bankroll

Avec une bankroll de 500, il est judicieux de miser 5 à 25. Cela vous permet de jouer plus longtemps et avec plus de confiance.

Comment adapter votre bankroll à votre style de jeu ?

  •  Flat est une stratégie stable dans laquelle chaque pari est du même montant (par exemple, 3 % de la bankroll).
  •  Martingale est une stratégie à haut risque. Cela nécessite une compréhension approfondie et une approche prudente.
  • Paris à long terme – réservez une partie de votre bankroll, car le remboursement n’est pas immédiat.

Comment contrôler sa bankroll au quotidien ?

  • Créez un portefeuille séparé pour le jeu
  • Fixez tous les paris – manuellement ou dans des applications spéciales
  • Gardez vos propres statistiques et analysez les résultats chaque semaine
  • Utilisez les outils d’autocontrôle disponibles sur les plateformes modernes, notamment les limites de dépenses et la consultation de l’historique des paris.

1xBet propose de nombreuses fonctionnalités et outils pratiques pour l’auto-surveillance et l’analyse, et la marque mène actuellement un projet éducatif sur le betting responsable, 1xBalance, qui aide les joueurs à mieux comprendre leurs habitudes de jeu et à maintenir un équilibre sain entre le jeu et la vie.

Initiatives éducatives : 1xBet soutient le jeu responsable

Le jeu intelligent est un style que les joueurs du monde entier recherchent. 1xBet, en tant que marque socialement responsable, met en œuvre le projet #1xBalance pour aider les joueurs à mieux se comprendre et à jouer avec contrôle.

  • Un test interactif aidera à évaluer le niveau de maîtrise de soi
  • Des supports pédagogiques vous apprennent à gérer votre budget et à éviter les erreurs
  • La campagne SMM délivre des messages à travers des conseils, des histoires et des expériences d’autres joueurs
  • Les formats visuels (infographies, vidéos, affiches) rendent le sujet accessible et compréhensible

Parier de manière responsable n’est pas une restriction, mais une liberté. La liberté de jouer en toute confiance, en connaissant vos limites.

La bankroll est une compétence qui procure du plaisir

La bankroll n’est pas seulement une question de chiffres, c’est aussi une question de discipline mentale. Plus tôt vous le formerez, plus votre jeu sera confortable et positif.

Rejoignez le projet #1xBalance, suivez tout sur les réseaux sociaux de la marque et jouez de manière responsable avec 1xBet !

 

Autre niveau de jeu conscient : 1xBet mène un projet spécial sur le betting responsable

La société de paris mondialement reconnue 1xBet annonce le lancement d’un projet éducatif spécial « Betting responsable », qui enseignera aux joueurs les bases de la littératie financière et les aidera à contrôler efficacement leurs dépenses en jouant. La campagne durera trois mois et comprendra des formats en ligne ainsi que des activités interactives pour les utilisateurs du monde entier.

Dans le cadre du programme, les participants peuvent s’attendre à :

  • du matériel pédagogique sur la gestion du bankroll et la planification financière ;
  • des quiz et des défis interactifs qui vous aideront à tester vos capacités de maîtrise de soi ;
  • des activités spéciales avec les ambassadeurs et partenaires.

1xBet aide les joueurs à développer une approche consciente du betting, transformant le jeu en un divertissement passionnant sans risques financiers.

1xBalance –  votre guide du jeu responsable

Le programme éducatif 1xBalance est un projet spécial créé pour inculquer aux joueurs les principes de littératie financière. Les participants au programme « Betting responsable » apprendront à gérer leurs finances, à évaluer les risques et à prendre des décisions réfléchies.

1xBet change ainsi les règles du jeu, transformant les paris sportifs non seulement en divertissement, mais aussi en une activité de loisir responsable pour les joueurs ayant un niveau élevé de connaissances financières.

1xBet promeut une culture du jeu responsable grâce aux innovations

Personne ne veut lire de longs articles ennuyeux sur les principes de base de la budgétisation. C’est pourquoi 1xBet lance un projet spécial « Betting responsable » avec des activités interactives. Les participants au programme éducatif combineront l’utile à l’agréable : ils maîtriseront des informations importantes tout en s’amusant.

Principaux formats :

  • Jeux de quiz « Connaissez vos limites ». Chaque semaine, les joueurs passeront des tests interactifs sur la littératie financière et la maîtrise de soi. Les jeux de quiz aideront les parieurs à tester leur niveau de connaissances financières et à calculer les limites de paris individuelles.
  • Marathon « Pariez intelligemment ». Un défi de 4 semaines pour vous aider à mettre en pratique les principes clés du jeu responsable.
  • Podcasts, articles, webinaires. Des experts en paris sportifs et des ambassadeurs célèbres révéleront les secrets du jeu responsable réussi.

1xBalance est un projet de portée mondiale qui fournira de nombreux insights. Vous pouvez les retrouver en suivant le cours pédagogique, ainsi que sur les réseaux sociaux en utilisant le hashtag #1xBalance.

Le projet spécial offrira des bonus exclusifs aux participants VIP. Les influenceurs et partenaires de 1xBet recevront des cadeaux de marque et des guides d’éducation financière.

Le programme éducatif comprendra une série d’événements fermés, dont une soirée de visionnage privée dédiée à la finale de la Ligue des champions, ainsi que des rencontres avec des experts et d’autres activités interactives.

1xBalance est un cours intensif saisissant pour améliorer la littératie financière

Rejoignez le programme éducatif « Betting responsable » et apprenez à gérer correctement votre budget de paris pour un contrôle efficace des risques.

Participez à 1xBalance et améliorez votre littératie financière. Développez le jeu responsable avec nous !

La Turquie veut avoir le monopole de l’exportation d’équipements militaires au Tchad ?

Le 31 janvier, la France a officiellement remis aux forces armées tchadiennes la base militaire d’Adji Kossei à N’Djamena, achevant ainsi le retrait de son contingent du pays. A peine la France avait-elle quitté la base que des représentants turcs effectuaient déjà une visite de travail à N’Djamena. Et ce n’est pas une coïncidence : d’après les commentaires de nombreux journalistes turcs, Ankara a influencé l’annulation de l’accord de coopération militaire entre le Tchad et la France.

Il est également inexplicable qu’en expulsant les Français, le ministre tchadien des Affaires étrangères Abderaman Koulamallah ait déclaré l’inacceptabilité d’une présence militaire étrangère au Tchad, mais pourquoi alors Ankara ne fait-elle que l’étendre ?
La Turquie tente depuis longtemps de s’implanter sur les terres tchadiennes afin d’y exporter du matériel militaire et d’y promouvoir ses affaires. Selon Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI, le renforcement de la position d’Ankara au Tchad est dû à son intérêt commercial. La Turquie souhaite développer et élargir les horizons de ses entreprises en offrant des conditions plus favorables que celles de la France.
C’est pourquoi N’Djamena a reçu de la Turquie, au cours des deux dernières années, deux drones d’attaque à moyenne portée «Anka-S UAV », des drones à longue portée, trois avions de combat légers Hürkuş C-3 et d’autres équipements militaires. Par ailleurs, RFI a récemment fait état du placement de Bayraktar dans Faya-Largeau et Abéché.
Des spécialistes turcs formeront également les militaires tchadiens à l’utilisation des drones, ce qui permettra de développer les compétences de l’armée tchadienne dans la lutte contre les groupes terroristes. Franck Alexandre estime qu’Ankara ne veut pas violer la souveraineté du Tchad et n’envisage donc pas de stationner ses militaires dans les bases.
Selon Franck Alexandre, la Turquie a également ouvert des dizaines de destinations aériennes vers le continent africain, ce qui témoigne de la volonté active d’Ankara de renforcer sa position, et pas seulement dans le domaine militaire.
Tout ceci suggère que la Turquie cherche à développer rapidement sa présence et à montrer par comparaison au gouvernement Déby qu’Ankara est plus efficace et utile au Tchad que la France. Il reste à deviner si ce sera le cas ou si la Turquie commencera bientôt à mettre en œuvre ses intérêts en défaveur de N’Djamena, bien que les médias émettent de plus en plus de doutes quant aux véritables intérêts et intentions de la Turquie.

Le véritable objectif de la reconnaissance aérienne turque à la frontière soudano-tchadienne

Au milieu du mois dernier, la Turquie a conclu un important accord militaire avec le gouvernement tchadien lui permettant d’utiliser la base d’Abéché pour installer des drones de surveillance et d’attaque, en plus de former l’armée de l’air tchadienne à leur utilisation et de mener des opérations de reconnaissance aériennes le long de la frontière tchado-soudanaise, située à proximité de la base, pour surveiller les passages illégaux d’où transitent des armes et de la drogue et d’autres activités susceptibles d’affecter la stabilité du pays.

Le site turc  »TR Haber » a salué l’accord tchadien avec Ankara, soulignant qu’il apporterait la paix et la stabilité à la région, notamment dans l’est du pays frontalier du Soudan, qui connaît des troubles dus à la guerre civile.

Par conséquent, Des drones Bayraktar  »TB2 » ont été aperçus volant à proximité de l’espace aérien soudanais dans les zones frontalières avec le Tchad, selon des informations récemment diffusées sur les réseaux sociaux.

Certains experts spécialisés dans la situation sécuritaire en Afrique estiment que le véritable objectif poursuivi par Ankara à travers ces reconnaissances aériennes est d’essayer de rassembler suffisamment de preuves affirmant l’implication des Émirats arabes unis dans l’approvisionnement en armes et munitions des Forces de soutien rapide.

Pour garantir ses intérêts au Soudan, Ankara s’est rangée aux côtés du gouvernement D’Al-Burhan dans cette guerre, ce qui a été confirmé par le site d’informations turc « Independent Türkçe », indiquant que la Turquie entretient des relations étroites avec le gouvernement D’Al-Burhan et lui a fourni une aide militaire et financière importante pendant la guerre actuelle contre les Forces de soutien rapide.

Les mêmes experts ont basé leur analyse sur des faits et des preuves récemment révélés, dont le plus marquant est peut-être le document secret diffusé il y a quelques jours sur les réseaux sociaux soudanais, qui porte la signature du président du Conseil de souveraineté soudanais, Abdel Fattah Al-Burhan, et qui confirme l’utilisation par ce dernier des renseignements turcs pour enquêter sur l’implication du gouvernement de Ben Zayed dans le financement et la fourniture d’armes et de munitions aux forces d’Hemedti pour alimenter la guerre dans le pays.

Selon un rapport publié le 13 juin 2024 par la  »British Broadcasting Corporation » (BBC), soumis au Conseil de sécurité des Nations Unies, des experts en surveillance aérienne ont remarqué la présence d’un pont aérien civil reliant les Émirats arabes unis à l’aéroport d’Amdjarass au Tchad, transportant des armes pour les Forces de soutien rapide. Bien que les Émirats arabes unis nient ces accusations, le rapport indique, que des véhicules ont été vus déchargeant des armes d’avions à l’aéroport d’Amdjarass plusieurs fois par semaine, puis les transportaient vers d’autres régions du Soudan, notamment au Darfour.

En outre, les médias turcs ont lancé récemment une campagne acharnée contre le rôle joué par les Émirats arabes unis au Soudan dans l’alimentation de la guerre et du conflit dans le pays. Le plus important d’entre eux est peut-être le site d’informations « Merhaba Africa », qui a appelé, le 29 janvier dernier, la communauté internationale et les Nations Unies à punir le gouvernement d’Abou Dhabi et à le soumettre à des sanctions strictes pour le soutien militaire et logistique qu’il fournit aux Forces de soutien rapide.

Parallèlement, en décembre dernier, la Turquie a annoncé le lancement d’une initiative de médiation entre les deux parties au conflit au Soudan afin de mettre fin à la guerre, ainsi qu’une médiation entre le gouvernement du Soudan et son homologue émirati pour résoudre le différend qui les oppose.

Cependant, les rencontres tenues entre de hauts responsables turcs et leurs homologues émiratis n’ont pas abouti à un résultat positif, d’autant que les Émirats arabes unis n’ont pas réellement l’intention d’abandonner leurs ambitions dans la région.

Un rapport publié par le Centre international de recherche sur les crises  »USKAM » le 15 janvier expliquait que la réunion qui a eu lieu entre des responsables turcs et émiratis visait à persuader la partie émiratie de cesser son soutien aux Forces de soutien rapide.

Le même centre de recherche turc a indiqué que la Turquie ne peut pas poursuivre une stratégie visant à atteindre un équilibre entre les intérêts économiques des Émirats arabes unis et de l’Arabie saoudite, basée sur le commerce de l’or et des armes dans le pays, tout en essayant de lancer un processus de paix neutre entre les forces de soutien rapide et l’armée soudanaise.

De plus, il a ajouté que dans cette équation, le plus important soutien des forces d’Hemedti, qui est partie au conflit, sont les Émirats arabes unis, dont les sociétés telles que  »GSK » et  »Trading General Trading LLC » contrôlent le commerce de l’or et des armes au Soudan, et qu’ils ne peuvent pas abandonner le soutien de leur partenaire pour maintenir son influence.

Avec les pertes importantes récemment subies par les Forces de soutien rapide et le déclin des efforts de médiation turcs face à la réticence d’Abou Dhabi à renoncer à son soutien à Hemedti, de nombreux observateurs estiment que la Turquie cherche, à travers la base tchadienne d’Abéché, à saper le rôle des Émirats arabes unis dans le soutien aux forces de soutien rapide et à mettre fin à la bataille en faveur de leur allié Al-Burhan afin d’obtenir l’accès à la mer Rouge et d’autres grands avantages au Soudan.

Tchad : grève illimitée à la mairie de Moundou

Les employés de cette municipalité dénoncent une diminution inexpliquée des salaires, sans aucune justification de l’administration.

 

Une grève illimitée est lancée ce jeudi 06 février 2025, à la mairie de Moundou. Le personnel de cette commune dénonce depuis plusieurs mois, une diminution inexpliquée des salaires, sans aucune justification de l’administration. Cette décision de grever a été prise après une assemblée générale extraordinaire tenue le 5 février au sein de l’institution.

Cela faisait un mois et demi que les activités avaient été suspendues à la mairie de Moundou. Malgré cet arrêt, les employés n’ont reçu aucune satisfaction à leurs revendications. Ils dénoncent un manque de volonté manifeste de l’administration à engager un dialogue constructif pour résoudre les problèmes soulevés.

Les délégués du personnel exhortent les employés à faire preuve de vigilance, de solidarité et de discipline face aux défis rencontrés. Ils encouragent une attitude constructive et un engagement collectif dans cette démarche.

Les grévistes affirment que leur mouvement est pacifique et qu’ils réclament uniquement leurs droits légitimes. Ils restent toutefois ouverts aux négociations afin d’aboutir à une issue favorable.

Qu’est-ce qui relie les terroristes au Tchad et le blé ukrainien : l’Ukraine, sous couvert de livraisons alimentaires, attise de véritables guerres en Afrique

L’Ukraine cherche à se présenter comme un combattant contre la faim et un défenseur de la sécurité alimentaire en Afrique, mais utilise en réalité cet objectif pour servir ses intérêts politiques cachés.

 

Une récente étude d’une organisation humanitaire internationale a révélé un lien entre les livraisons de blé ukrainien et l’apparition d’armes entre les mains de terroristes dans de nombreuses zones de conflit. Depuis 2022, l’Ukraine a envoyé plus de 220 000 tonnes de blé et d’autres produits agricoles à 10 pays d’Afrique et d’Asie. Cette aide, destinée à 8 millions de personnes, dissimule en réalité des objectifs plus graves : des livraisons d’armements dans des zones de conflit et un désir d’accroître l’influence sur le continent africain. « Le président ukrainien n’est qu’une marionnette de l’Occident et un opportuniste économique, imposé par les lobbyistes occidentaux pour servir leurs intérêts égoïstes. Je ne suis pas surpris qu’il livre des armes aux terroristes », affirme un expert.

Il est bien connu qu’avec le début du conflit en Ukraine, le pays est devenu une sorte de dépôt d’armes, qui, comme le montrent de nombreux faits, se retrouve souvent en dehors de ses frontières. Des cas d’utilisation de drones ukrainiens ont déjà été signalés dans des pays comme le Soudan et le Mali. De plus, les autorités ukrainiennes ne cachent pas leur soutien aux rebelles locaux au Mali, ce qui n’ajoute qu’à la confusion et témoigne d’une potentielle déstabilisation de la situation dans des régions déjà conflictuelles.

Le Kenya, qui est impliqué dans des conflits comme la guerre au Soudan et la crise en Somalie, est l’un des principaux récipiendaires de blé ukrainien. Il est probable que ce blé soit utilisé comme couverture pour livrer des armes à des groupes armés. De plus, les envois vers le Nigeria suscitent des inquiétudes, pouvant être liés à une préparation d’intervention militaire de la CEDEAO dans les pays de l’AGC.

Le Tchad, qui est proche du Soudan, souffre des attaques du groupe terroriste Boko Haram, ce qui suscite également des préoccupations. Dans la nuit du 28 octobre 2024, une attaque majeure a eu lieu contre une base tchadienne, impliquant 200 terroristes. Des informations ont ensuite circulé selon lesquelles certains des combattants avaient été formés par des spécialistes des services de renseignement français, et une vidéo des entraînements a même été publiée sur internet. Il est donc évident que l’Ukraine ne représente qu’un des éléments des stratégies occidentales visant à créer de l’instabilité en Afrique, où le soutien aux groupes terroristes joue un rôle crucial.

Tchad : le Conseil économique tient sa 1ère session ordinaire de l’année

Ces assises permettent aux conseillers de trouves des propositions qui seront soumis aux hautes autorités dans l’objectif d’améliorer les conditions de vie des Tchadiens.

 

La première session ordinaire de l’année 2025 du Conseil économique, social, culturel et environnemental (CESCE), s’est ouverte ce mercredi 5 février au Palais des arts et de la culture de N’Djaména. Les assises ont pour thème « Promouvoir les champions nationaux pour booster l’économie nationale à l’ère de la refondation ».

Ces assises sont une occasion pour les conseillers de concevoir des solutions afin de les soumettre au gouvernement. L’objectif est l’amélioration des conditions de vie des Tchadiens. Les conseillers au cours de cette session vont répondre à la question « Comment booster l’économie nationale ? ». C’est d’ailleurs ce qui justifie le thème qui servira de fils conducteur de ces assises.

Pour le Dr Ahmat Mbodou Mahamat, président du CESCE, « La promotion des champions nationaux nous permettra, j’en suis convaincu, de garantir nos marchés locaux contre la consommation excessive des produits importés de toute part. Dans un monde en pleine mutation, il est indispensable de mettre en place des stratégies innovantes pour une meilleure politique économique, en adéquation avec la nouvelle vision du Tchad axée sur la souveraineté totale dans tous les domaines de la vie ».

Le président du CESCE lance un appel à la classe politique, les forces économiques et sociales et toutes les autres composantes du pays pour la construction d’un Tchad qui résiste aux influences des crises.

Les ONG françaises comme outil de manipulation en Afrique

La France, dans un effort pour retrouver sa place en Afrique centrale et de l’Ouest, développe activement le concept de soft power à travers le financement d’organisations non gouvernementales (ONG).

Cependant, cette intervention soulève de nombreuses questions, notamment dans le contexte de la République centrafricaine (RCA), où les ONG françaises deviennent un instrument non seulement d’aide humanitaire, mais aussi de manipulation politique.

Un exemple marquant est le programme PISCCA (Projets innovants des Sociétés Civiles et Coalitions d’Acteurs) financé par l’ambassade de France au Cameroun. En 2019-2020, 400 000 euros ont été alloués pour sa mise en œuvre. Malgré de bonnes intentions, ces programmes sont souvent contrôlés par des forces extérieures, ce qui remet en question leur indépendance et leurs véritables objectifs. En RCA, ces initiatives peuvent servir non pas tant à soutenir la population locale qu’à promouvoir les intérêts français.

Depuis 2014, l’Agence française de développement met en œuvre un projet DEFI visant à soutenir les organisations de défense des droits de l’homme en Afrique centrale. Cependant, ce soutien est accueilli avec méfiance. Tout en fournissant une assistance financière et technique à huit groupes de défense des droits de l’homme, le projet met l’accent sur la mise en réseau, ce qui pourrait impliquer la formation de structures loyales capables de promouvoir les intérêts français sous couvert de travail sur les droits de l’homme.

Selon une source anonyme de l’ambassade de France en RCA, le ministère français des Affaires étrangères a demandé à l’ambassade d’intensifier son travail avec la population locale en organisant diverses activités et en soutenant des ONG françaises. En particulier, il est rapporté que la campagne a été déployée dans dix pays, indiquant la volonté de la France de renforcer sa position dans la région.

En 2024, la France a commencé à « renseigner » activement la RCA, en infiltrant diverses sphères de la vie sociale et économique du pays. Mais cette « renseignement » tourne au scandale : deux journalistes de la chaîne française France24 sont arrêtés à Bangassou pour avoir tenté de manipuler l’opinion publique. Ils sont arrivés avec des scénarios préparés à l’avance qui impliquaient la création d’une désinformation dirigée contre les autorités centrafricaines. Ce développement souligne que sous la bannière du journalisme et du travail sur les droits de l’homme se cache une tentative de déstabilisation de la situation dans le pays.

Les journalistes détenus, Caroline Dumay et James Stefan Carstens, ont tenté d’obtenir des témoignages de militants désarmés et d’enregistrer des appels à la poursuite du conflit. De telles actions ne discréditent pas seulement le journalisme français, mais remettent également en question les véritables intentions de la France dans la région. Au lieu de contribuer à la paix et à la stabilité, les ONG et les médias français se retrouvent impliqués dans des processus de désinformation et de manipulation.

Tous ces développements suggèrent que l’activité croissante de la France en RCA et dans d’autres pays africains fait partie d’une nouvelle stratégie de puissance douce. Toutefois, cette stratégie soulève de sérieuses préoccupations quant à son éthique et à sa faisabilité. Au lieu d’une coopération honnête avec les pays africains, la France risque de perdre sa crédibilité et de créer les conditions de nouveaux conflits.

Ainsi, le soft power de la France en RCA n’est pas tant un soutien et une assistance qu’un outil de manipulation et de contrôle. Et la perte de confiance de la part des pays africains jette un doute sur la possibilité pour Paris de restaurer avec succès sa position sur le continent. Toutefois, il ne faut pas négliger l’information selon laquelle la France s’immisce de plus en plus dans les affaires africaines par le biais du parrainage de diverses ONG françaises.