Tchad : rejet de la candidature de Mahamat Zen Bada aux élections législatives

L’Agence Nationale de Gestion des Élections (ANGE) a notifié à Mahamat Zen Bada, secrétaire général du Mouvement Patriotique du Salut (MPS), du rejet de sa candidature aux élections législatives prévues pour le 29 décembre 2024.

Ce rejet survient après un examen minutieux de son dossier de candidature, qui a révélé plusieurs non-conformités avec les exigences légales en vigueur. Le principal motif réside dans la condamnation de Mahamat Zen Bada en 2012, par la Cour Criminelle, pour des faits de faux en écriture publique et de détournement de fonds publics. Bien que le secrétaire général du MPS ait bénéficié d’une grâce présidentielle, la loi tchadienne stipule que les personnes condamnées pour corruption et malversations, même graciées, restent inéligibles. En effet, la grâce présidentielle, selon les textes en vigueur, ne supprime pas la condamnation qui continue d’apparaître au casier judiciaire, et l’individu ne peut prétendre à une candidature.

L’organe en charge des élections dit avoir constaté, une irrégularité supplémentaire. « Mahamat Zen Bada n’a pas fourni la preuve de sa mise en disponibilité du corps de la Police nationale », une exigence imposée par la législation électorale pour les fonctionnaires. En l’absence de ces documents, l’Agence a jugé que sa candidature ne respectait pas les conditions d’éligibilité fixées par la loi N°005/CNT/2024 sur le Code électoral.

L’ANGE a invité le parti à revoir sa liste pour s’assurer qu’elle soit conforme aux exigences légales, sous peine de voir d’autres candidatures rejetées.

Elim CAN Maroc 2025 : Les Sao du Tchad prêt pour les deux derniers matchs

Les poulains de Kévin Nicaise s’apprêtent à affronter la Sierra Leone et la Côte d’Ivoire dans le cadre, de la double confrontation, marquant la fin des éliminatoires de la Coupe d’ Afrique Maroc 2025.

Après plusieurs semaines de préparation, les Sao du Tchad s’installent à Abidjan pour deux matchs décisifs contre la Sierra Leone et la Côte d’Ivoire, qui auront lieu respectivement le 13 et le 19 novembre. Sous la houlette de l’entraîneur principal, Kevin Nicaise, l’équipe tchadienne met tout en œuvre pour ce dernier virage.

Bien que le groupe soit encore incomplet, avec quelques joueurs arrivant dans les prochains jours, la détermination et l’esprit de groupe sont palpables. Les Sao, déjà sur place depuis le 8 novembre, ont intensifié leur préparation à Abidjan avec des séances d’entraînement ciblées et des exercices physiques adaptés, tout en restant concentrés sur l’objectif commun, décrocher leur billet pour la prochaine édition de la CAN.

Les matchs à venir contre la Sierra Leone, au stade Alassane Ouattara d’Ébimpé, et contre la Côte d’Ivoire, sur la pelouse du mythique stade Félix Houphouët-Boigny, s’annoncent cruciaux. La qualification passe par ces deux rencontres qui détermineront la suite du parcours des Sao dans ce tournoi.

Tchad : la Fédération de football remet des ballons aux ligues provinciales

Le 9 novembre 2024, le stade municipal de Sarh a accueilli la cérémonie de remise des ballons dans le cadre de la tournée nationale organisée par la Fédération Tchadienne de Football Association (FTFA).

 

Cette étape marquait la troisième distribution, après celles de N’Djamena, du Batha et du Moyen Chari, avec un objectif clair : renforcer les infrastructures et soutenir la pratique du football à tous les niveaux au Tchad. En présence des autorités locales, dont le secrétaire général de la FTFA, Dr Baba Ahmat Baba, et le préfet du département de Barh Kôh, Oumar Ali Nanina, la cérémonie a permis de distribuer des ballons et des chèques d’une valeur de 1 million de francs CFA aux ligues provinciales du Moyen Chari et du Mandoul. En outre, des ballons ont été remis aux clubs de première division et aux équipes féminines de football. L’initiative, lancée le 24 octobre dernier, vise à soutenir le développement du football à travers le pays et à garantir une meilleure répartition des ressources aux véritables bénéficiaires.

Lors de son intervention, Dr Baba Ahmat Baba a rappelé que le développement du football passe par une gestion rigoureuse des matériels distribués. « Ces ballons doivent impérativement servir au développement du football et ne doivent pas être détournés de leur objectif », a-t-il insisté. Il a également souligné l’importance de la formation des arbitres et des entraîneurs pour accompagner cette dynamique de croissance et promouvoir l’excellence dans le sport.

Le préfet du département de Barh Kôh, représentant le gouverneur de la province, a exprimé toute sa gratitude envers la FTFA pour ce geste qui, selon lui, va contribuer à dynamiser le football dans la région. Il a par ailleurs garanti un suivi rigoureux de la distribution des ballons afin d’assurer leur bonne utilisation.

Avant de quitter Sarh pour Moundou, Chef-lieu du Logone Occidental pour la prochaine étape, le SG par intérim de la FTFA a eu une réunion de travail avec le gouverneur de la province du Moyen Chari, Abdraman Ahmat Bargou. Les discussions ont porté sur plusieurs sujets importants, dont l’organisation du football local et la nécessité de renforcer les infrastructures sportives.

Le Fonds africain de développement accorde 6,67 milliards de FCFA au Tchad

L’enveloppe du guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement vise à renforcer les efforts de stabilisation du bassin du lac Tchad.

 

Le Conseil d’administration du Fonds africain de développement a approuvé le 5 novembre 2024, le financement d’un projet qui vise à prévenir les risques par la stabilisation du bassin du lac Tchad. Les fonds serviront à renforcer les efforts de stabilisation du bassin du lac Tchad, région en proie depuis plusieurs années à une crise sécuritaire et l’une des plus affectée au monde par les effets des changements climatiques. Le montant de l’enveloppe s’élève à 17,97 millions de dollars américains.

Cette enveloppe du guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement, est constituée d’un don de 11,11 millions de dollars au Tchad, soit 6,67 milliards de FCFA et d’un prêt de 6,86 millions de dollars au Cameroun.

« Le financement qui vient d’être approuvé est un appui conséquent du Groupe de la Banque africaine de développement aux gouvernements du Tchad et du Cameroun, pour faire face aux effets socioéconomiques de la crise du bassin du lac Tchad. Cette opération vise à prévenir l’expansion de l’extrémisme violent dans la région du bassin du lac Tchad à travers la préservation du capital humain et l’autonomisation des communautés », a déclaré le directeur général de la Banque pour l’Afrique centrale, Serge N’Guessan. « Le projet est particulièrement approprié et innovant du fait qu’il promeut une approche du Nexus humanitaire, développement et paix », a-t-il souligné.

Le projet comprend trois composantes : améliorer la sécurité, l’accès à la justice et rétablir les services essentiels résilients ; revitaliser l’économie locale et créer des emplois durables et climato-sensibles pour les femmes et les jeunes et ; renforcer la cohésion sociale et la coopération régionale.

Les activités du projet couvriront les provinces du Lac et de Hadjer Lamis au Tchad et la région de l’Extrême-Nord au Cameroun affectées par la dégradation de leur situation sécuritaire.

Les internautes tchadiens enthousiastes face à l’arrivée de Starlink

L’annonce de l’arrivée de Starlink au Tchad enflamme les réseaux sociaux depuis quelques jours, suscitant un vif enthousiasme parmi les internautes.

La solution par satellite, promise par le géant américain d’Internet, pourrait bien résoudre un des problèmes majeurs du pays, la fracture numérique. Le milliardaire américain Elon Musk a fait l’annonce sur X (anciennement Twitter) : « Starlink now available in Chad! ».


Ce déploiement au Tchad intervient dans un contexte où l’accès à Internet reste extrêmement coûteux et de qualité variable. En effet, les utilisateurs font face à des prix élevés pour une connexion lente et instable, aggravés par une couverture limitée du réseau à fibre optique, qui ne s’étend pas aux zones rurales, et par des coupures fréquentes.

Le ministre tchadien de la Communication, Boukar Michel, avait d’ores et déjà souligné que Starlink pourrait être la solution aux problèmes de fiabilité et de coût des services Internet dans le pays. Selon lui, la technologie par satellite permettrait d’offrir un accès à Internet plus rapide et plus stable, et ce même dans les régions les plus isolées. Une telle avancée serait un véritable atout pour l’inclusion numérique, en permettant à un plus grand nombre de Tchadiens de se connecter.

Pour mémoire, une autorisation de déploiement a été attribuée en 2022 à ce fournisseur, avant d’être interdite quelques mois après. Aujourd’hui, le gouvernement semble plus disposé à soutenir ce projet, avec des discussions en cours pour un lancement prévu en 2025.

 

Coopération : À Lomé, les jeunesses africaines dessinent une nouvelle voie pour les relations entre la France et l’Afrique

Plusieurs représentants des organisations de la société civile engagés dans la refonte des relations Afrique – France entament ce 11 novembre à Lomé une rencontre stratégique de cinq jours, en vue d’accélérer la mise le changement de paradigme dans les relations entre Paris et les Etats africains. LA rencontre est organisée par le Conseil de dialogue et de partenariat (CDP) Togo-France.

Parmi ces organisations de la Société civile présentes à Lomé, figurent les Conseils du Cameroun, du Togo et du Tchad ainsi que des plateformes, réseaux d’acteurs et organisations engagés dans l’agenda transformationnel des relations Afrique – France/Europe en Afrique et dans sa Diaspora.

Cette rencontre intervient 03 ans après le Sommet de Montpellier et deux ans avant de Sommet Afrique – France prevu en 2026 au Kenya. A l’aune de ce grand rendez-vous pour le monde francophone, des voix s’élèvent. « Trois ans après le Sommet de Montpellier et à deux ans du prochain Sommet Afrique-France au Kenya en 2026, notre ambition est de construire une dynamique panafricaine pour un partenariat plus justes et plus équilibré avec l’Europe », souligne Hemes NKWA, Présidente du Conseil pour le suivi des recommandations du Nouveau Sommet Afrique-France (CNSAF), basé au Cameroun. « Nous souhaitons passer d’une logique État à État à une approche continent à continent, plus en phase avec les aspirations de nos jeunesses, de nos sociétés civiles et de nos peuples. » ajoute-t-elle.

Les rencontres de Lomé verront aussi la création du Conseil International de Dialogue et de Partenariat (CIDP) Afrique-France/Europe, une instance panafricaine qui mettra en réseau tous les Conseils et autres Organisations de la société civile, engagées pour l’avènement d’une coopération plus équilibrée et plus équitable entre l’Afrique et l’Europe. « La création d’un Conseil International de Dialogue et de Partenariat (CIDP) Afrique-France/Europe marque une nouvelle étape dans notre engagement pour une coopération plus équitable. » indique Tsatsu Yao MAWUPENKOR, président du Conseil de dialogue et de partenariat (CDP) Togo-France.

A en croire des sources autorisées, à l’issue de ces cinq jours de travaux, les participants adopteront une déclaration commune qui définira les prochaines étapes de leur collaboration et les actions concrètes à mener pour faire avancer l’agenda transformationnel des relations Afrique-Europe.

Les travaux de Lomé devraient se conclure par l’adoption d’une déclaration commune qui fixera les prochaines étapes de la collaboration entre les différents acteurs présents, et proposera des actions concrètes pour faire avancer l’agenda transformationnel des relations Afrique-Europe.

À titre de rappel, le CNSAF et le CDP Togo-France sont des plateformes de la société civile basées respectivement au Cameroun et au Togo. Créées à la suite du Sommet Afrique-France de Montpellier, tenu en présence du Président Emmanuel Macron, ces deux structures sont des cadres d’échange et de plaidoyer réunissant des représentants de la société civile camerounaise et française. Leur mission est de contribuer à la refondation des relations entre l’Afrique et l’Europe, en s’appuyant sur les 13 recommandations formulées il y a trois ans lors du sommet de Montpellier.

Le Sahel et l’Afrique de l’Ouest unis pour accélérer le développement des systèmes pastoraux

Du 6 au 8 novembre des représentants des gouvernements, des organisations pastorales et agro-pastorales, du secteur privé et de la société civile de plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel se sont réunis.

 

 

C’était dans le cadre du Forum de haut niveau sur le pastoralisme, intitulé Nouakchott+10, qui marque le dixième anniversaire de la Déclaration de Nouakchott de 2013. Cette assise a permis de dresser un bilan des progrès réalisés tout en appelant à un nouvel engagement collectif pour le développement durable et inclusif des systèmes d’élevage. C’est du moins ce qui est contenu dans la déclaration de fin. Les participants sont issus du Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Tchad, et Togo?

Depuis la première Déclaration de Nouakchott, plus de 1 milliard de dollars ont été investis dans des projets de développement pastoral dans la région. Ces initiatives ont permis la gestion durable de plus de 13 millions d’hectares d’espaces pastoraux, la construction de 559 points d’eau, ainsi que la création de près de 4 200 kilomètres de couloirs de transhumance sécurisés. Des actions ont également été menées pour améliorer la santé animale, avec plus de 600 millions d’animaux vaccinés et la formation de 137 vétérinaires.

Les parties prenantes se sont réjouies de la construction de 362 marchés à bétail et l’inclusion économique de près de 56 000 personnes, dont une majorité de femmes, qui ont renforcé et diversifié leurs activités économiques.

Les défis majeurs auxquels continue de faire face le secteur pastoral, ont également été évoqués. Il s’agit entre autres, du changement climatique, les conflits, l’insécurité et la pression foncière. « Ces facteurs compromettent la viabilité des systèmes pastoraux et agricoles dans la région, mettant en péril les moyens de subsistance de millions de personnes », note la Banque mondiale.

Face à ces enjeux, les participants du Forum ont appelé à une action collective renforcée pour sécuriser les terres agro-pastorales, améliorer la gouvernance foncière et développer des chaînes de valeur durables. Ils ont également mis en avant l’importance de renforcer les synergies entre agriculture et élevage, deux piliers fondamentaux du développement économique régional. En particulier, les participants ont insisté sur la nécessité de favoriser l’inclusion des jeunes et des femmes dans les activités pastorales et agricoles, ainsi que de renforcer les systèmes d’information régionaux pour mieux orienter les décisions politiques.

Le Forum a également souligné l’importance de la complémentarité entre les systèmes d’élevage sédentaires et mobiles, tout en appelant à une meilleure gestion pacifique des territoires, en particulier pour les pays côtiers et certains pays d’Afrique centrale.

Chakib Jenane, directeur du développement durable pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre à la Banque mondiale, a souligné l’importance de valoriser les territoires sahéliens et de promouvoir l’élevage mobile pour ses multiples contributions à l’économie régionale, notamment face aux défis du changement climatique.

Tchad : le ministre de l’Environnement participe aux activités de la COP29

Hassan Bakhit Djamous, a pris part ce 11 novembre 2024 aux activités de lancement de la 29e édition de la Conférence des Parties sur la convention-cadre de lutte contre les changements climatiques (Cop29) à Baku en Azerbaïdjan.

La COP29 se déroule du 11 au 22 novembre 2024 et représente une opportunité pour les dirigeants du monde de rompre avec les promesses du passé et agir à travers des financements appropriés pour faire face aux changements climatiques dans le monde. C’est le cas du Tchad qui attend des appuis concrets face aux effets du changement climatique notamment, les inondations, la sècheresse, la désertification et bien d’autres.

Les priorités de la COP 29 incluent l’établissement d’un nouvel objectif de financement pour l’action climatique et le soutien aux pays pour renforcer leurs efforts climatiques.

Lors de la COP28, le premier « bilan mondial » a souligné l’urgence de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 43 % d’ici 2030 pour limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport aux niveaux pré-industriels, tout en soulignant que les efforts actuels sont insuffisants.

D’après les Nations Unies, la finance climatique représente un thème central des COP. « Durant la COP29, les pays devraient convenir d’un nouvel objectif collectif quantifié (NCQG) en matière de financement, qui succédera à l’objectif de financement de la lutte contre le changement climatique par les pays développés pour les pays en développement de 100 milliards de dollars par an, fixé en 2009 à Copenhague. La COP a besoin d’un résultat qui renforce la confiance, catalyse les fonds nécessaires et génère un élan pour la réforme de l’architecture financière internationale. »

L’ONU de préciser que les pays en développement, qui ne sont pas les principaux responsables des changements climatiques, ont en effet besoin de cet argent pour soutenir leurs efforts en matière d’atténuation, d’adaptation et de pertes et dommages.

Lutte anti-terroriste, le Tchad présente le bilan de l’accrochage contre Boko-Haram

En sa qualité de chef suprême des armées, Mahamat Idriss Deby a présidé le dimanche 9 novembre 2024, une réunion des forces de défense et de sécurité.

 

A cette à l’occasion, le bilan de l’accrochage entre l’armée tchadienne et les éléments de Boko Haram le 09 Novembre 2024 dans le Lac Tchad a été fait. Le bilan fait état de 96 terroristes neutralisés dont 11 blessés. 107 armes individuelles et 03 armes collectives récupérées ;

06 pirogues détruites.

Du côté des Forces de Défense et de Sécurité tchadiens, 15 militaires sont tombés sur le champ; 32 blessés qui évacués à Ndjamena, pour les soins.

Le service de communication de pa présidence fait savoir que : « après évaluation de la situation sécuritaire, le chef Suprême des armées a donné des orientations pour une bonne coordination des actions aux différents responsables militaires présents à la réunion. »

Le président tchadien prend part au 2ème sommet arabo-islamique en Arabie Saoudite

Arrivé à Riyad en Arabie Saoudite, Mahamat Idriss Deby Itno participe dès ce lundi 11 novembre 2024, aux assises annuelles du sommet arabo-islamique.

 

Ce sommet conjoint entre la Ligue des Etats arabes et l’Organisation de la coopération islamique (OCI), tend à examiner les développements de la question palestinienne et l’évolution de la situation au Proche-Orient. Les chefs d’État et de gouvernement prenant part aux travaux, feront le tour de la question.

A l’issue du Somment précédent, en 2023, les deux organisations ont réaffirmé la centralité de la cause palestinienne et leur soutien par tous les moyens à la lutte légitime du peuple palestinien pour la libération de tous ses territoires occupés. L’’impératif de mettre fin à l’agression israélienne contre le peuple palestinien et rejeté catégoriquement toutes tentatives de son déplacement forcé ou de sa déportation et toute consécration de la séparation de Gaza de la Cisjordanie, y compris Al-Qods-Est avait également été souligné.

Invité à ce sommet par le roi d’Arabie Saoudite, gardien des deux Saintes mosquées, Salman Bin Abdelaziz Al Saoud, le chef d’Etat tchadien a été accueilli à l’aéroport international King Khaled, par des officiels saoudiens.