A travers un communiqué de presse du 24 novembre, la présidence de ma République évoque des éventuelles poursuites judiciaires contre les auteurs d’altération de l’image du chef de l’Etat.
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La direction générale de la communication de la présidence précise dans son communiqué que, l’image du chef de l’État n’est pas une simple représentation individuelle, elle est le : « symbole et l’incarnation de la République et de ses institutions ». Par conséquent, elle rappelle l’impératif du respect dû à la fonction et à l’image du garant suprême des institutions de la République.
Face à la prolifération rapide de technologies permettant la manipulation d’images et de vidéos, notamment l’intelligence artificielle (IA), la DGCOM/PR interdit entre autres, la manipulation, à la déformation, ou à toute altération de l’image du président de la République ; générer de deepfakes ou de toute image synthétique utilisant l’IA qui présenterait le Président de la République dans un contexte autre que celui de l’exercice de ses fonctions officielles ou dans le but de créer un contenu trompeur ou malveillant. Et de déformer les composantes de l’image du à des fins de caricature, de comédie, de satire ou d’humiliation de nature à porter atteinte à sa dignité ou à l’honneur de la fonction qu’il représente.
« Toute personne physique ou morale identifiée qui s’adonnerait à la pratique malveillante de manipulation et/ou de déformation de l’image du chef de l’État, y compris par l’utilisation de l’intelligence artificielle, s’expose à des poursuites judiciaires et sera traduite devant les juridictions compétentes », avertit la présidence.
