Mascottes sportives et lien avec les fans

Les mascottes sportives fascinent et rapprochent les supporters de leurs équipes. Elles apportent joie, dynamisme et identité visuelle. Leur rôle va bien au-delà du simple spectacle. Elles incarnent les valeurs de l’équipe et renforcent la fidélité des fans à travers des interactions simples et mémorables.

Histoire et évolution des mascottes sportives

Les mascottes existent depuis longtemps et, même dans des événements sportifs en ligne comme ceux proposés par https://1xbet.bi elles continuent de captiver le public. Au départ, elles servaient à divertir le public pendant les pauses, mais aujourd’hui, elles représentent l’équipe sur tous les terrains et événements. Leur design est soigneusement pensé pour être reconnaissable et engageant.

  • Couleurs de l’équipe intégrées dans le costume
  • Gestes emblématiques pour encourager les joueurs
  • Interaction constante avec les spectateurs

Les mascottes ne se limitent pas aux stades. Elles apparaissent lors de campagnes promotionnelles, interviews et événements communautaires. Chaque apparition contribue à renforcer l’identité de l’équipe et la proximité avec les supporters.

Impact émotionnel sur les supporters

Les mascottes provoquent des réactions positives immédiates. En parallèle, de nombreux supporters découvrent qu’ils peuvent se connecter facilement à 1xbet pour suivre les matchs en direct ou placer des paris, ce qui ajoute une dimension interactive à leur expérience. Les enfants, adolescents et adultes apprécient leurs interactions, ce qui crée des souvenirs durables. Elles permettent aux fans de ressentir un lien émotionnel fort avec l’équipe, même pour ceux qui ne suivent pas chaque match.

Les émotions suscitées sont multiples :

  • Joie et amusement pendant les matchs
  • Fierté à travers l’identité visuelle de l’équipe
  • Sentiment d’appartenance à une communauté

Les mascottes réussissent à captiver les fans grâce à leur énergie constante. Leur présence transforme le simple spectateur en participant actif du spectacle.

Techniques pour engager les fans

Certaines mascottes utilisent des stratégies efficaces pour rester mémorables. Elles réalisent des danses, participent à des sketches comiques et interagissent avec les supporters pendant les pauses. Leur rôle dépasse le divertissement : elles humanisent l’équipe et facilitent l’engagement.

Les méthodes les plus courantes incluent :

  • Photographies et selfies avec les fans
  • Jeux et concours pendant les mi-temps
  • Salutations personnalisées aux supporters fidèles

Ces actions renforcent le lien entre le public et l’équipe. Elles encouragent également le partage sur les réseaux sociaux, augmentant la visibilité et la popularité de la mascotte.

Mascottes et médias sociaux

Les mascottes ne se contentent plus des stades. Elles sont présentes sur les plateformes sociales pour interagir avec les fans. Vidéos, posts humoristiques et défis viraux permettent de maintenir l’attention toute la saison.

Leurs comptes attirent des milliers de followers et génèrent des interactions quotidiennes. Cela augmente la visibilité de l’équipe et enrichit l’expérience des supporters. Les fans se sentent inclus, comme faisant partie de la famille de l’équipe.

Bonnes pratiques et sécurité

Les mascottes sont souvent confrontées à des environnements animés. Les organisateurs veillent à la sécurité du public et du porteur du costume. Les routines sont répétées plusieurs fois pour éviter les accidents et assurer un spectacle fluide.

Le respect de l’espace personnel et des règles sanitaires est essentiel. Les interactions restent chaleureuses mais contrôlées, garantissant le plaisir et la sécurité de tous.

Les mascottes sportives jouent un rôle clé dans la fidélisation des supporters. Elles créent une atmosphère positive, renforcent l’identité de l’équipe et suscitent des émotions durables. Leur présence sur le terrain et les réseaux sociaux transforme chaque match en une expérience mémorable. Elles incarnent le lien vivant entre l’équipe et ses fans.

Police du Tchad : le recrutement des gardiens de la paix de nouveau lancé

Le concours pour le recrutement des gardiens de la paix dans la police nationale, de nouveau lancé après les préoccupations signalées après le dépôt des candidatures en 2022.

 

Le ministre de la Sécurité publique et de 1’immigration annonce que, dans le cadre du concours pour le recrutement des gardiens de la Paix dans le corps de la Police nationale, session 2022, les éventuels autres candidats peuvent déposer leurs dossiers à la direction des ressources Humaines et du Matériel (DRHM) pour les candidats de N’Djamena et aux délégations provinciales de la police pour ceux des provinces.

Les candidats ayant déposé leurs dossiers en 2022, sont priés de se présenter à la DRHM de la Police Nationale munis de leur reçu et du NNI, pour confirmer leur candidature. La période dépôt de candidatures est fixée du 19 septembre au 18 octobre 2025.

Les Conditions de participation à ce concours sont les suivantes :

  1. Etre de nationalité tchadienne ;
  2. Jouir de ses droits civiques ;
  3. Etre de bonne moralité ;
  4. Etre reconnu apte par un médecin agréé de l’administration à un service actif de jour et de nuit et reconnu indemne de toute affection ou infirmité incompatible à l’exercice des fonctions publiques ;
  5. Avoir une taille d’au moins 1,70 mètre ;
  6. Etre âgé de dix-huit (18) ans au moins et trente-trois (33) ans au plus au 10 janvier 2025.

Pièces à fournir :

  1. Une demande manuscrite de l’intéressé adressé au directeur général de la Police nationale ;
  2. Un extrait d’acte de naissance ou un jugement supplétif en tenant lieu ;
  3. Un certificat de nationalité tchadienne ;
  4. Un extrait de casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois ;
  5. Un certificat médical datant de moins de trois (03) mois et précisant en outre que l’acuité visuelle du candidat est supérieure à 1/10 par oeil avant correction ; 6. Une copié authentifiée du Brevet d’Etude Fondamentale (BEF) ou son équivalent et ayant le niveau de la Classe de Terminale ;
  6. Deux (02) cartes photos d’identité 4X4 ;
  7. Une somme d’argent non remboursable de cinq mille (5.000) francs CFA contre reçu.

Par ailleurs, les candidats ayant déposé leurs dossiers en 2022, sont priés de se présenter à la DRHM de la Police Nationale munis de leur reçu et du NNI, pour confirmer leur candidature.

 

Tchad : le GCAP s’oppose à la révision technique de la Constitution

Le groupe de concertation des acteurs politiques (GCAP) a fait état de son indignation à travers une déclaration rendu public le 16 septembre 2025.

Une réaction qui fait suite, à l’adoption, à l’Assemblée nationale, de la proposition de loi constitutionnelle portant révision technique de la Constitution du 29 décembre 2023. Le Groupe de Concertation des Acteurs Politiques, cette révision est une falsification du droit. Le porte-parole du Groupe, Max Kemkoye, explique qu’une proposition de loi ne peut porter sur la Constitution, compétence réservée au gouvernement ou au président de la République. Il dénonce, la convocation du Congrès par le président de l’Assemblée nationale et la création d’une Commission mixte paritaire violent également la Constitution et l’indépendance des deux chambres.

Le GCAP estime que cette réforme vise uniquement à pérenniser le pouvoir personnel de Mahamat Idriss Déby Itno, qui confond l’État et son parti. Cette dérive transformerait le Tchad en parti-État et concentrerait entre ses mains le pouvoir politique, militaire et économique, s’indigne-t-il.

Le GCAP craint que cette fuite en avant puisse conduire au rétablissement de la peine de mort pour éliminer les opposants sous couvert de légalité. Et invite les Tchadiens à comprendre la gravité du moment : cette révision n’est pas faite pour la République, mais pour assurer la mainmise totale de Mahamat Idriss Déby Itno sur le pays.

 

Tchad : le général Mahamat Abali Salah radié des effectifs de l’armée

Officier supérieur et ancien ministre de la Défense sous l’ère de l’ancien président Idriss Deby Itno, le général Mahamat Abali Salah est cassé puis radier du contrôle des effectifs de l’armée tchadienne.

 

Par décret no 2216/PR/PM/MAACVG/2025 du 16 septembre 2025, le général de corps d’armée Mahamat Abali Salah, ID: 20042045, des Forces de Défense et de Sécurité, est cassé au grade de soldat de 2ème classe et radié du Contrôle des effectifs des forces de défense et de sécurité pour faute grave. « L’intéressé n’aura droit ni à la pension, ni à la solde de réforme, ni à une quelconque prime d’indemnité compensatrice », précise le décret.

Il est à préciser, rappelle APANews, que cette sanction intervient alors que : « des déclarations attribuées au général circulent actuellement sur les réseaux sociaux et dans plusieurs médias, en lien avec la situation tendue dans sa région d’origine, Miski, située dans la province du Tibesti. »

Au sujet de la situation à Miski, le 14 septembre dernier, cinq membres du gouvernement ont organisé une conférence pour démentir les « allégations » sur les attaques contre les civils.

Il est également important de préciser, le général Mahamat Abali est allé en exil quelques temps après la mort de l’ancienb président tchadien, Idrioss Deby Itno.

 

Tchad-Afrique du Sud : un partenariat universitaire en gestation entre les deux pays

Le ministre d’État, ministre de l’Enseignement Supérieur, Tom Erdimi et l’ambassadeur d’Afrique du Sud au Tchad, Muzikayifani Khehla Joseph Nkosi ont eu des échanges relatifs à un accord académique entre Johannesburg et N’Djamena.

Les échanges se sont déroulés qui se sont déroulés à N’Djaména le 16 septembre 2025, étaient axés autour de deux points clés. Notamment :

-le projet de la signature de l’accord-cadre entre le ministère sud-africain de l’Enseignement supérieur et celui du Tchad ;

– l’arrivée prochaine de quelques membres de la Fondation Mandela au Tchad pour visiter quelques Universités et octroyer quelques bourses d’études.

Les deux personnalités se sont félicités de cette rencontre et se sont convenus de réaliser ces deux projets avec le concours du ministère des Affaires étrangères.

 

 

 

Tchad : présentation de la lettre de politique sur le désarmement, la démobilisation et la réinsertion

Le premier ministre Allah Maye Halina, a présidé la présentation de la Lettre de politique nationale sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réinsertion (LPN-DDR) ce 16 septembre 2025.

 

Dans le souci de garantir et pérenniser l’Accord de Doha qui a pour objectif général le maintien de la paix et de la sécurité sur au Tchad, les parties prenantes à ce processus s’attellent à réduire la circulation des armes et les risques de reprise de violence ; démobiliser et réinsérer les combattants ; faciliter la cohésion sociale et la réconciliation nationale ; renforcer la sécurité et contribuer au développement socio‑économique du pays.

Pour la représentante des partenaires techniques, le DDR n’est pas seulement un cadre de paix, il est aussi un gage de cohésion sociale et de développement. Elle a rassuré l’État tchadien du soutien des partenaires techniques en vue d’accompagner le pays dans la mise en œuvre du processus.

Le premier ministre, a, dans son allocution, souligné que : « la lettre DDR est la volonté du peuple tchadien d’abandonner définitivement les moments tumultueux passés pour un Tchad réconcilié avec lui‑même ». Il a ensuite invité les parties prenantes à travailler ensemble pour un Tchad prospère, uni et réconcilié.

Cette cérémonie a rassemblé les parties prenantes au processus, à savoir la Commission Nationale chargée de la mise en œuvre du programme DDR ; les ex politico-militaires ; les ministères sectoriels ainsi que d’autres institutions officielles ; les partenaires bilatéraux et multilatéraux ; la société civile et les ONGs.

 

Le ministre tchadien des Affaires étrangères reçoit une audience un ministre français

Ce mardi 17 septembre 2025, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Abdoulaye Sabre Fadoul a reçu en audience, le président du Groupe d’Amitié France-Tchad au Parlement français.

Le ministère des Affaires étrangères fait savoir que, le parlementaire Charles Sitzenstuhl est venu exposer au chef de la diplomatie tchadienne, les détails de sa mission en République du Tchad.

« Il est à N’Djamena pour identifier des nouveaux axes de coopération dans les domaines cruciaux tels que l’économie, la santé et l’enseignement supérieur. » Une démarche qui consiste à recueillir les attentes des tchadiens, notamment celles de la nouvelle génération, dans l’optique d’élaborer une feuille de route concrète pour le nouveau gouvernement français, apprend-on.

Il s’agit selon Charles Sitzenstuhl, d’une première visite de travail, qui s’inscrit dans la continuité du dialogue privilégié entre les deux nations. Au-delà du symbole diplomatique, cette visite incarne la volonté commune des deux pays d’adapter leur alliance aux défis contemporains et aux aspirations futures. « C’était pour lui, l’occasion de saluer l’excellence des relations franco-tchadiennes, soulignant ainsi le partenariat historique et constructif entre les deux Etats ».

 

Tchad : réouverture de la circulation sur l’avenue général Kérim Nassour

La circulation sera rétablie dans les deux sens sur l’avenue Général Kerim Nassour, devant la Présidence de la République, à compter du mercredi 17 septembre 2025.

A travers une circulaire, le maire de la commune de la ville de N’Djaména informe l’ensemble des usagers de la route que l’avenue du général Kérim Nassour, passant devant la présidence de la République, est désormais rouverte à la circulation dans les deux sens à compter du 17 septembre 2025.

Les usagers sont invités à faire preuve de civisme, en respectant le Code de la route, les limitations de vitesse, ainsi que toutes les consignes de sécurité en vigueur sur cet axe.

Nous comptons sur la bonne collaboration de tous pour assurer une circulation fluide, sécurisée et respectueuse de l’ordre public.

Ce tronçon a été interdit de circulation par l’ancienne maire pour des raisons de « sécurité ».

 

Tchad : les députés favorables à la réforme constitutionnel

Le 15 septembre 2025, les représentants de la Nation ont examiné et adopté la proposition de loi constitutionnelle portant révision technique de la Constitution du 29 décembre 2023.

Cette réforme, initiée et portée par l’Assemblée nationale, a été approuvée par une large majorité de 171 voix pour, contre une seule voix et aucune abstention. Les principaux amendements adoptés sont entre autres, le mandat présidentiel qui passe du quinquennat au septennat, renouvelable ; la création du poste de vice-premier ministre ; l’harmonisation des mandats électifs, les députés auront désormais un mandat de 6 ans ; financement public des campagnes électorales des partis politiques par l’État, pour garantir l’équité et la transparence du jeu démocratique. La Suppression de l’alinéa 2 de l’article 77 ; la transformation du Médiateur de la République en Médiature de la République, institution renforcée au service de la médiation et de la protection des citoyens ; la responsabilité renforcée des membres du gouvernement, désormais justiciables devant les juridictions de droit commun pour les crimes et délits économiques et financiers commis dans l’exercice de leurs fonctions et l’introduction d’une pause estivale pour le président de la République et le Premier ministre.

La présidente de la Commission spéciale en charge de la révision technique de la Constitution, Neloum Mbaigoto, a souligné que cette initiative parlementaire « accroît l’efficacité administrative, garantit une meilleure coordination de l’action gouvernementale et assure une souplesse institutionnelle bénéfique à l’avenir du pays ».

Le Tchad et la Turquie renforcent leur rôle dans le règlement du conflit soudanais

Le 12 septembre 2025, le Tchad a officiellement soutenu la Déclaration conjointe « Rétablissement de la paix et de la sécurité au Soudan », adoptée par les pays du QUAD — les États-Unis, l’Égypte, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.

Dans un communiqué du ministère tchadien des Affaires étrangères, l’importance de la participation des États directement touchés par la crise soudanaise, y compris le Tchad lui-même, est soulignée, de même que celle de l’implication de l’Union africaine dans le processus de règlement pacifique. N’Djamena a réaffirmé son engagement en faveur du retour à la paix dans le pays voisin, a appelé à une trêve humanitaire immédiate et a exprimé sa volonté de soutenir les initiatives tant régionales qu’internationales.

Le conflit soudanais a eu un impact direct sur le Tchad, qui est devenu un refuge pour plus d’un million de réfugiés, principalement originaires du Darfour. Les camps situés le long de la frontière orientale sont surpeuplés et la situation y reste extrêmement tendue. En dépit de difficultés économiques internes, le Tchad, avec l’appui des organisations internationales, assure une aide humanitaire minimale — nourriture, hébergement et services médicaux. Ainsi, le pays agit non seulement comme médiateur diplomatique, mais porte également l’essentiel du fardeau de la crise humanitaire, ce qui renforce son intérêt pour une cessation rapide des hostilités au Soudan.

Dans ce contexte, N’Djamena est contrainte de chercher un équilibre dans ses relations avec le président du Conseil souverain soudanais, Abdel Fattah al-Burhan. D’un côté, elle maintient une ligne de normalisation et de stabilisation de la frontière ; de l’autre, l’armée soudanaise accuse systématiquement le Tchad de permettre l’utilisation de son territoire comme corridor de transit pour des livraisons d’armes en provenance des Émirats arabes unis à destination des Forces de soutien rapide (RSF). Ces accusations minent la confiance et créent un risque d’affrontement militaire direct. Dans un souci de désescalade, le Tchad a pris des mesures pour renforcer sa coopération avec la Turquie, devenue un partenaire clé dans le domaine de la sécurité et du contrôle des livraisons illégales d’armes.

La coopération entre le Tchad et la Turquie dépasse les seuls projets humanitaires. Selon BBC Monitoring, la Turquie utilise une base à Abéché pour collecter des renseignements sur l’implication des Émirats arabes unis dans le conflit soudanais. Cette base sert de point d’appui non seulement pour la logistique et la formation des forces de sécurité tchadiennes, mais aussi pour surveiller les canaux potentiels de livraisons d’armes illégales aux RSF. Ainsi, Ankara devient un allié important de N’Djamena dans sa volonté de renforcer sa propre sécurité et de préserver son rôle de stabilisateur régional.

L’expansion de la présence militaire turque au Tchad s’inscrit dans une stratégie plus large d’Ankara visant à accroître son influence en Afrique. La Turquie combine les éléments de la « soft power » — aide humanitaire et action diplomatique — avec des outils plus coercitifs tels que la coopération militaire, le renseignement et le contrôle des frontières. Dans le contexte de la crise soudanaise, ce partenariat prend une importance particulière : le Tchad bénéficie d’un soutien face aux défis sécuritaires, tandis que la Turquie consolide son statut d’acteur autonome, capable de rivaliser avec les puissances régionales et mondiales traditionnelles.