Tchad : la Banque mondiale débloque 150 millions de dollars pour soutenir les agro-entrepreneurs

La Banque mondiale a approuvé un financement de l’Association Internationale de Développement (IDA), de 150 millions de dollars pour soutenir le Tchad à améliorer la résilience, la compétitivité et l’inclusion des chaines de valeur agricoles.

 

Le Projet d’agrobusiness et de transformation rurale inclusive au Tchad (ProAGRI) financera le renforcement institutionnel des agences gouvernementales clefs en vue d’un soutien efficace aux agro-entrepreneurs. Il s’agit notamment de l’appui à la mise en œuvre de réformes pour améliorer l’environnement des affaires, le renforcement des capacités techniques. Il s’agira également de la construction, la réhabilitation et l’accréditation d’infrastructures résilientes au climat avec notamment des laboratoires pour le contrôle de la qualité des semences de variétés améliorées, sanitaire et phytosanitaire des produits agricoles et agro-alimentaires afin d’améliorer la compétitivité des produits agricoles tchadiens sur le marché national et international.

Il est prévu le renforcement des capacités des acteurs du secteur privé et de la Chambre de Commerce, d’Industrie, d’Agriculture, des Mines et d’Artisanat (CCIAMA) pour favoriser et accélérer la création et la croissance des agro-entreprises ; et l’appui à la création et la capitalisation d’un Fonds National Semencier pour une gestion plus durable du secteur semencier tchadien.

La BM indique que ce projet va aussi soutenir le renforcement du conseil agricole à travers la diffusion et l’adoption des technologies agricoles améliorées et intelligente face au climat.

 « Le projet va bénéficier à la fois aux réfugiés et leurs communautés d’accueil en réduisant l’ampleur et les coûts futurs de la distribution de l’aide alimentaire et en améliorant la sécurité alimentaire locale par le renforcement de la production agricole locale », dit Clara de Sousa, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Tchad. « L’intégration des communautés d’accueil en tant qu’agents économiques dans le développement des chaînes de valeur agricoles réduira le fardeau des agences humanitaires et les frictions potentielles entre les populations locales et les réfugiées sur l’accès aux ressources naturelles de production », ajoute-t-elle.

« Ce projet maximisera les synergies avec le portefeuille de la Banque mondiale au Tchad, en s’appuyant sur les réalisations dans la diffusion des technologies agricoles améliorées résilientes au climat des chaînes de valeur des oléagineux (sésame et arachide), du maïs, et du poisson. Le projet appuiera également les chaines de valeur de la volaille, de la mangue et des dattes », a ajouté pour sa part, Rasit Pertev, Représentant Résident de la Banque Mondiale au Tchad.

 

Une délégation tchadienne participe à la 57e session de la Commission Population et Développement

La mission est pilotée par le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération Internationale, Mahamat Assouyouti Abakar.

Le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération Internationale, Mahamat Assouyouti Abakar, conduit une délégation à la 57e session de la Commission Population et Développement qui se tient du 29 avril au 03 mai 2024 à New York au siège des Nations unies.

Cette rencontre coïncide avec le 30e anniversaire de la Conférence Internationale sur la Population et Développement tenue en 1994 en Egypte.

L’objectif de cette session est d’évaluer et mettre en œuvre le programme d’action de la Conférence Internationale sur la population et le Développement et de sa contribution au suivi et à l’examen de l’Agenda 2030 pour le développement durable au cours de la décennie d’actions et de résultats en faveur du développement durable.

Tchad : le candidat Yacine Abdaramane Sakine marque son passage dans la Kabbia

En tournée dans le cadre de la campagne présidentielle en vue du scrutin du 6 mai 2024, le candidat du Parti Réformiste, Yacine Abdaramane Sakina attire l’attention de nombreuses personnes dans le département de la Kabbia.

 

Le 1er mai 2024, Yacine Abdaramane Sakine et son équipe de campagne ont installé leurs valises dans la Sous-prefecture de Djodo Gassa dans le Département de la Kabbia, Province du Mayo-kebbi Est. Il a déroulé son programme de société devant des personnes sorties nombreuses pour la circonstance. Le fils du Ouaddaï entend réduire considérablement le chômage des jeunes. Il estime qu’il n’y a pas de raisons de former les jeunes et les abandonner ensuite sans leur donner la possibilité de travailler.

Le candidat numéro 2 sur le bulletin de vote entend également mettre un point d’orgue, sur les questions d’éducation, l’alimentation et de santé. L’économiste et homme politique, dans ses différentes sorties, laisse entendre qu’il travaillera à alléger la souffrance des tchadiens, reformer les Institutions de la République pour espérer voir le pays se développer.

Yacine Abdaramane Sakine se présente pour la première fois à l’élection présidentielle au Tchad. Ses militants le présentent comme ‘’vrai’’ démocrate, « celui qui n’a pas trempé dans les écarts de langage en s’attaquant à d’autres candidats depuis le début de la campagne. » Le Parti Réformiste, dont il est le leader demande voter leur candidat parce qu’il ne traine aucune casserole et ne s’est jamais servi dans les caisses de l’Etat.

Pour mémoire, le dossier de candidature de Yacine Abdaramane Sakine pour la présidentielle du 6 mai 2024, a été validé le 24 mars 2024, le Conseil constitutionnel.

 

Des dirigeants africains et la Banque mondiale s’engagent à mener des réformes économiques ambitieuses

 

19 chefs d’État africains se sont réunis à l’occasion d’un grand sommet avec des responsables de la Banque mondiale au Kenya pour discuter des opportunités à créer en Afrique.

 

Des dirigeants d’Afrique s’engagent à mener des réformes économiques ambitieuses, avec l’IDA de la Banque mondiale au cœur de la stratégie, fait savoir la BM dans un communiqué du 29 avril 2024. Ledit programme : « vise à améliorer considérablement les conditions de vie ainsi qu’à créer de nouvelles opportunités, positionne l’Association internationale de développement (IDA) de la Banque mondiale comme un élément essentiel du succès ».

A l’issue du sommet au Kenya, la naissance d’un partenariat, une coalition réunissant la société civile, les fondations, le secteur privé et les jeunes a vu le jour : « pour alimenter le moteur de développement de l’Afrique. »

Les parties prenantes on sommet, ont pris l’engagement renforcer la gouvernance, libérer le potentiel du secteur privé pour la création d’emplois, mobiliser les ressources nationales et tenir les promesses en matière de changement climatique. L’accroissement de l’accès à l’énergie et au numérique, ainsi que l’amélioration de la résilience au changement climatique et aux conflits étant également au nombre des priorités.

Dr. William Ruto, président de la République du Kenya, a souligné l’urgence du changement pour le continent et son désir de capitaliser sur l’opportunité de ce moment charnière. Défendant avec ardeur le renforcement des contributions des donateurs à l’IDA-21. Il a aussi souligné son rôle dans les changements transformateurs en Afrique, et dans le monde entier. « Notre peuple et nous, les dirigeants de l’Afrique, sommes impatients de voir le changement s’opérer et nous voulons transformer le continent en ce moment de formidables opportunités », a déclaré le président Ruto.

Faisant écho à ces propos, Ajay Banga, le président du Groupe de la Banque mondiale, a souligné la nécessité d’un soutien mondial indéfectible, en particulier de la part de l’IDA, alors que l’Afrique trace sa voie vers un avenir prospère et progressiste. « Nous sommes unis par une vision commune pour l’avenir de l’Afrique – un continent riche en diversité, en culture et en potentiel, grâce à ses jeunes et à ses ressources naturelles », a déclaré Ajay Banga. « Ce sont les ingrédients qui peuvent alimenter notre avenir. L’Association internationale de développement a été un partenaire indéfectible dans le parcours du développement de l’Afrique, et ce sommet symbolise notre engagement collectif à accélérer les progrès. Ce qui exigera davantage de l’IDA, du Groupe de la Banque mondiale, des gouvernements et du secteur privé. »

Sellah Bogonko, directrice générale de Jacob’s Ladder, qui représentait un échantillon représentatif de la jeunesse africaine, déclare : « Le véritable leadership ne concerne pas seulement les personnes en place, mais chacun d’entre nous qui fait l’impossible, chaque jour, à sa manière. Nous, les jeunes, ne nous contentons pas de demander ce que vous pouvez faire pour nous. Nous sommes prêts à créer conjointement des solutions avec vous, nos dirigeants élus, avec le soutien de l’IDA ».

 

Beac : les billets de type 1992 n’auront plus de valeur d’ici un mois

La décision des autorités monétaires concerne toutes les coupures de 10 000, 5000, 2000, 1000 et 500 FCFA.

Les billets de type 1992 seront démonétisés d’ici un moisCes coupures seront également privées du pouvoir libératoire sur l’ensemble du territoire de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale. Dès le 1er juin, ces billets n’auront donc plus de valeur.

Autrement dit, jusqu’au 31 mai prochain, les détenteurs de ces billets pourront les échanger aux guichets des banques et dans les services de la BEAC, l’institut d’émission commun aux six États de la sous-région (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, la Guinée équatoriale et Tchad).

L’annonce du gouverneur de la BEAC concernant la démonétisation des billets de la gamme BEAC Type 1992 est vérifiée et correspond à la décision prise par le comité ministériel de l’UMAC.

Cette démarche vise à assurer la stabilité monétaire et à promouvoir l’utilisation des billets en circulation, conformément aux normes et pratiques monétaires en vigueur dans la région.

À terme, seuls les billets des gammes de 2002 et 2020 seront valables dans la zone de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac). « Les modalités pratiques d’échanges seront fixées, par note de service, par chaque banque commerciale et par chaque agence de la BEAC. La Banque centrale rappelle, en outre, que les billets de la gamme 2002 conservent leur cours légal et continuent de circuler conjointement avec les billets de la gamme 2020. Les billets des deux gammes doivent donc être acceptés sans distinction dans toutes les transactions », a précisé la BEAC.

Il faut souligner que, le processus de retrait de la circulation des billets de banque de la gamme 1992 avait débuté le 1er mars 2023 dans la zone Cémac, selon une résolution de la réunion du comité ministériel de l’Union monétaire de l’Afrique centrale prise le 7 novembre 2022.

Tchad : relance du processus électoral à la fédération de football

La FTFA lance un appel à candidature pour l’élection des membres de la Commission Electorale, de la Commission de Recours Electoral, et de la Commission de Discipline et d’Ethique

 

Placée sous normalisation en décembre 2021 par la FIFA, la Fédération tchadienne de football association s’active pour mettre sur pied un nouvel exécutif par voie élective. En prélude, un appel à candidature pour l’élection des membres de la Commission Electorale, de la Commission de Recours Electoral, et de la Commission de Discipline et d’Ethique conformément aux dispositions statutaires est lancé.

Les commissions électorales sont chargées d’organiser et de superviser la procédure électorale conformément au Code électoral de la FTFA. Elles sont constituées de la Commission Electorale, organe de première instance en matière d’élection, et de la Commission de Recours Electoral, organe de recours en matière électorale.

La Commission Electorale est composée de 7 membres et la commission de recours électorale de 3 membres.

La Commission d’Ethique et de Discipline est un organe juridictionnel chargé de mener les enquêtes d’éligibilité et d’habilitation des candidats au Conseil de la FTFA. Elle est composée de 5 membres. Les candidats à ces différents organes seront élus par l’Assemblée Générale de la FTFA pour un mandat de 4 ans renouvelables.

 

Critères d’éligibilités

Les candidats intéressés pour faire partie de de la Commission électorale doivent remplir quelques critères d’éligibilités. Ils ne doivent être membres d’aucun autre organe de la FTFA et ne peuvent exercer aucune fonction gouvernementale. Ils ne peuvent être candidat à aucun des autres postes à pourvoir au sein de la FTFA tant qu’ils sont sous mandat. Le président et les rapporteurs de la Commission électorale doivent être des juristes qualifiés.

Pour la Commission de Discipline et d’Ethique, le président et le vice-président doivent être des juristes qualifiés et satisfaire aux critères d’indépendance stipulé à l’article 58 alinéa 5 des statuts FTFA.

Par ailleurs, il est à noter que selon l’article 24 alinéa 9 des statuts FTFA tout membre d’une commission de la FTFA, y compris les commissions électorales et la Commission de Discipline et d’Ethique, doit se récuser – c’est à dire ne pas participer aux débats ni à la prise de décisions lorsqu’il existe un risque ou un éventuel conflit d’intérêts.

 

Présidentielle au Tchad : l’ONU appelle à un processus électoral transparent et crédible

Le Secrétaire général de l’ONU António Guterres, exhorte à un processus électoral pacifique, inclusif, transparent et crédible pour l’élection présidentielle du le 6 mai au Tchad.

 

Avant le premier tour de l’élection présidentielle au Tchad, prévu le 6 mai, le Secrétaire général exhorte toutes les parties prenantes nationales à travailler en faveur d’un processus électoral pacifique, inclusif, transparent et crédible.

Le Secrétaire général encourage les leaders politiques à s’abstenir de tout acte ou discours pouvant compromettre un processus pacifique, et à résoudre tout éventuel différend par le dialogue et à faire examiner à travers les voies légales établies toute plainte pouvant survenir.

Le Secrétaire général réitère l’engagement des Nations Unies à continuer à soutenir le Tchad dans ses efforts pour construire un avenir pacifique et prospère.

Le Tchad représenté aux Assemblées Annuelles 2024 et du Jubilé d’Or du Groupe de la BID

Le Tchad s’est fait représenter en Arabie Saoudite, aux Assemblées Annuelles 2024 et du Jubilé d’Or du Groupe de la Banque Islamique de Développement BID, par le ministre en charge de l’enseignement supérieur.

Le ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche Scientifique Tom Erdimi représentant ses collègues du Plan et des Finances, aux Assemblées Annuelles 2024 et son Jubilé d’Or à Riyadh.  Les Assemblées Annuelles 2024 auront pour thème « Chérir notre Passé, Tracer notre Avenir : Originalité, Solidarité et Prospérité », marquant ainsi les 50 ans de la BID dédiés à promouvoir le développement socio-économique dans ses pays membres. Et placé sous le haut patronage du Serviteur des Lieux Saints, le Roi Salman Bin Abdulaziz Al-Saud.

Les Assemblées Annuelles comprennent une série d’événements et de panels avec des intervenants de haut niveau, provenant de gouvernements, d’organisations internationales et régionales, du secteur privé, du milieu universitaire et de la société civile.

Le Jubilé d’Or couplé aux assemblées vise à commémorer cinq décennies de coopération porteuse, de partenariats solides et de changements transformateurs. « C’est une véritable commémoration du parcours significatif de la BID, qui a débuté il y a 50 ans à Riyadh, avec la réunion inaugurale de son conseil d’administration, honorée par la présence de l’Émir de Riyadh de l’époque, Son Altesse Royale le Prince Salman Bin Abdulaziz Al-Saud. »

Il est important de au Tchad, la BID finance plusieurs projets notamment dans le domaine des infrastructures.

Tchad : Pahimi Padacké Albert présenté comme le candidat qui prône la non-violence

Le RNDT – Le Réveil présente son leader, Pahimi Padacké Albert, en course pour la présidentielle du 10 mai comme, seul candidat qui prône la non-violence pour pacifier le Tchad.

Né le 15 novembre 1966 à Gouin dans la sous-préfecture de Torrock, dans la région du Mayo-Kebbi Ouest, Pahimi Padacké Albert se présente pour la quatrième fois à la présidentielle au Tchad. Le scrutin est prévu le 06 mai prochain et tous les 10 candidats en lice, dont le président de transition, Mahamat Idriss Deby et le premier ministre, Succès Masra sont en campagne. L’ancien premier ministre se présente comme celui qui va ‘’restaurer la démocratie’’.

Pour son parti politique, Le RNDT – Le Réveil, Pahimi Padacké Albert est le seul candidat qui prône la non-violence pour pacifier le Tchad. « Les autres sont tous violents. Leur parcours politique et leur carrière sont jalonnés de violence. », déclare la formation politique sur sa page Facebook.

« Le Tchad a besoin d’un homme de paix, un homme lui-même pacifique et non violent pour présider à sa destinée. Cet homme, c’est seul PPA, le candidat du RNDT – Le Réveil, le candidat numéro 3. Le 6, votons massivement PPA, la solution pour le Tchad notre pays. Nous retrouverons la paix et la stabilité que le Tchad a perdue il y a si longtemps. », poursuit le parti du coq blanc.

Cemac-Emprunt Obligataire : levée de 50 milliards FCFA réussie pour la Bdeac

L’annonce a été faite dans une note signée le 27 avril par le président de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale, Dieudonné Evou Mekou depuis Brazzaville.

La Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC) a lancé du 04 mars au 26 avril 2024, un appel public à l’épargne de 50 milliards de francs CFA (environ 82.628.500 dollars) sur le marché financier de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).

Dénommée « BDEAC (6,20% – 5,95% – 4,70%) NET 2024-2031″, cette opération était ouverte aux investisseurs institutionnels ainsi qu’aux personnes physiques.

Pour mener à bien cette opération, la Banque s’est faite accompagner par un Consortium d’Arrangeurs, ayant pour chef de file Contacturer Capital S.A. et composé de : L’Archer Capital Securities, Elite Capital Securities SA et Upline Securities Central Africa (USCA).

Au terme de la période de souscription, l’opération « BDEAC (6,20% – 5,95% – 4,70%) Net 2024-2031 » a été close avec la levée d’un montant global de FCFA 54 769 710 000 (cinquante-quatre milliards sept cent soixante-neuf millions sept cent dix mille Francs CFA), soit une sursouscription de 9,54%, par rapport au montant de FCFA 50 milliards initialement recherché.

Face à cette reussite, la Bdeac a adressé ses félicitations au Consortium d’Arrangeurs, au Syndicat de Placement et à tout le personnel de la Banque, pour « leur professionnalisme et leur abnégation au travail ; toutes choses ayant permis l’atteinte de la performance sus évoquée, dans un contexte économique régional et international difficile, marqué entre autres par une contraction de l’épargne et une volatilité des coûts ».

Pour mémoire, la BDEAC avait structuré cet emprunt obligataire en trois tranches auxquelles chacun peut adhérer en trouvant son compte, à savoir : une tranche A dont le taux est de 6,20% net pour une maturité de 7 ans ; une tranche B au taux de 5,95% net pour une maturité de 5 ans et une tranche C au taux de 4,70% net pour une maturité de 3 ans.