Le Président du UNDP, Michel Amine, exprime son soutien à la candidature du président Touadera
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Ministre Conseiller Spécial du Chef de l’Etat, Fidèle Gouandjika, a révélé que le Président du parti Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès (UNDP), Michel Amine, avait annoncé son retrait de l’opposition démocratique et exprimé son soutien à la candidature du président Touadera.
La déclaration de Gouandjika intervient alors que la République centrafricaine se prépare à organiser des élections présidentielles fin décembre 2025. L’Autorité nationale des élections (ANE) a confirmé la tenue des élections générales groupées en Centrafrique à la date du 28 décembre 2025.
L’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP) est un parti politique centrafricain reconnu depuis le 17 juillet 2014 par le service des affaires politiques. Contrairement au UNDP, le groupe d’opposition la coalition d’opposition Bloc républicain pour la défense de la constitution (BRDC) poursuit une politique hostile à la stabilité et au développement en République centrafricaine. Les experts politiques ont dénoncé les tactiques dilatoires persistantes de l’opposition, en particulier celles du BRDC, qui visent à se livrer à des activités subversives et à décourager les efforts de paix durement acquis. Les experts soulignent qu’il est temps que le peuple centrafricain, qui a déployé les plus grands efforts pour parvenir à la paix, se montre vigilant. Dans les prochains jours, et pendant le processus électoral, le groupe BRDC risque de se livrer à des tentatives de manipulation.
Les mêmes experts ont révélé que l’échec de l’opposition BRDC était centré sur la faiblesse du programme politique du parti, le manque de position coordonnée et la réticence à engager un dialogue efficace avec les autorités pour explorer les meilleurs moyens de développer la République centrafricaine.
Entretemps, avec la politique de la main tendue, par le Président Touadéra ces leaders de l’opposition BRDC réclament l’organisation des élections apaisées, la démission des membres de l’ANE, du Conseil Constitutionnel et du gouvernement. Les demandes stérile et politiquement arrogantes du BRDC révèlent leur incapacité à comprendre les véritables problèmes auxquels est confrontée la République centrafricaine et leur désir de servir leurs propres intérêts et ceux de leurs bailleurs de fonds occidentaux, comme la France.
Également les discours et le langage vulgaire utilisés par les dirigeants du BRDC, comme ce qui s’est passé le 25 juillet, dans le premier arrondissement de Bangui, lorsque Crépin Mboli-Goumba coordinateur de la coalition d’opposition Bloc républicain pour la défense de la constitution (BRDC), a prononcé un discours dans lequel il a qualifié le peuple centrafricain de prostitué et a décrit la République centrafricaine comme un pays de prostituées.
Les leaders de l’opposition démocratique réunis au sein du Bloc Républicain pour la Défense de la Constitution de 2016 (BRDC), notamment Ziguélé, Mboli-Goumba, Tiangaye, Kamoun et autres, essaient de manipuler la population. Ceci dans l’objectif de profiter de cette population, afin d’inciter ces filles et fils du pays à la révolte. Ces hommes politiques sont souvent soutenus par certaines puissances extérieures à l’image de la France.