Tchad : les Sao dames entament un stage de préparation au Cameroun

Elles quitteront N’Djaména le dimanche 21 décembre 2025 à destination de Garoua (Cameroun), dans le cadre des matchs de préparation, annonce la Fédération ce 19 via un communiqué.

L’équipe nationale féminine disputera deux matchs amicaux face à la Fondation AGAI, prévus les 24 et 26 décembre 2025.  Les stades et les heures des rencontres seront communiqués ultérieurement, fait savoir la Fédération tchadienne de football association (FTFA).

Ces matchs s’inscrivent dans la dynamique de préparation et de renforcement de l’équipe nationale féminine, conformément à la vision du Bureau Exécutif de la FTFA, renseigne le communiqué.

La FTFA invite l’ensemble des ressortissants tchadiens résidant à Garoua à se mobiliser massivement pour soutenir nos vaillantes Sao.

 

Tchad : lancement d’une campagne de sensibilisation sur la sécurité routière

Le secrétaire général du ministère des Transports, de l’Aviation civile et de la Météorologie nationale, Dihoulné Laurent, a lancé ce vendredi 19 décembre 2025, au pont de la Refondation, la campagne de sensibilisation à la sécurité routière.

Il s’agit d’une initiative de l’Office national de la sécurité routière (ONASER), placée sous le thème « une conduite sans alcool, une fête joyeuse », cette campagne vise à prévenir les accidents de la route liés à la consommation d’alcool, particulièrement en cette période de fêtes de fin d’année, marquée par une forte mobilité et une recrudescence des risques routiers.

La campagne se déroulera du 19 au 31 décembre 2025 sur l’ensemble du territoire de la ville de N’Djamena, à travers des actions de sensibilisation, d’information et de mobilisation des usagers de la route, notamment les conducteurs de véhicules, de motos et les piétons.

La cérémonie de lancement a réuni plusieurs autorités administratives et sécuritaires, dont Zenaba Edith, maire de la commune du 6ᵉ arrondissement, le directeur général de la Police nationale, 3ᵉ adjoint, des élus locaux, ainsi que les responsables de l’ONASER.

À travers cette initiative, le gouvernement réaffirme son engagement en faveur de la préservation des vies humaines, de la sécurité des usagers de la route et de la promotion d’un comportement responsable, condition essentielle pour des fêtes paisibles et sans drame.

Tchad : la HAMA invite les médias à une posture responsable au Festival Dary

A la veille de l’ouverture de la 7è édition du Festival Dary qui se tiendra du 20 décembre 2025 au 04 janvier 2026, le gendarme des médias, la HAMA fait un rappel à l’ordre.

 

La Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (HAMA) a produit un communiqué ce jour pour rappeler aux professionnels des médias que l’information n’est pas seulement un outil de communication. « Elle constitue également un instrument essentiel de promotion de la paix, de la cohésion sociale, de rapprochement entre les communautés et de la consolidation de l’unité nationale. » Le régulateur des médias insiste sur la responsabilité majeure qui incombe chaque acteur dans le traitement, la vérification et la diffusion/publication de l’information

La HAMA rappelle également que chaque contenu diffusé/publié a le pouvoir d’informer, d’éclairer, d’apaiser, mais aussi d’influencer profondément la perception des citoyens et la stabilité du vivre-ensemble.

L’autorité invité les professionnels des médias à adopter une posture responsable et privilégier une information exacte, équilibrée et utile : éviter toute diffusion/publication de contenus susceptibles d’exacerber des tensions ou de fragiliser la cohésion sociale. Elle met un accent sur la promotion, des messages valorisant la diversité culturelle nationale et encourageant le dialogue, la compréhension mutuelle et le respect des différences. Pour le régulateur, le message doit contribuer activement au renforcement de l’unité nationale par un traitement éthique et professionnel de l’actualité.

Coopération : le Tchad et l’Algérie s’unissent dans le secteur énergétique

En visite à l’Institut algérien du pétrole, la ministre du Pétrole, des Mines et de la Géologie, Ndolenodji Alixe Naimbaye a discuté d’un transfert de savoir et de compétences durables avec le Tchad.

Lors des échanges, les parties tchadiennes et algériennes ont confronté leurs besoins à offre de formation technique dédiée aux métiers des hydrocarbures, aux expertises de la géologie et à l’énergie.  L’objectif pour le Tchad est d’élaborer des programmes pour consolider la maîtrise technique au niveau de chaque poste, appréhender la gestion des carrières, auditer et renforcer les compétences et les redéployer au niveau de la Société des Hydrocarbure du Tchad notamment, compléter la formation dispensée à l’INSPEM (Institut National Supérieur de Pétrole de Mao), avec la formation sur poste.

D’après le ministère du Pétrole, cette étape a permis de donner un cadre formel aux projets de formation, formateur et d’investissement sur le capital humain, base de la performance de toute industrie.

Le département rassure que, L’Algérie et le Tchad quittent cette séquence diplomatique avec un cadre de coopération global, structuré et orienté vers l’action. La prochaine étape, la session de la Commission Mixte, sera l’occasion de signer les premiers accords et de passer résolument de la phase des études à celle des réalisations concrètes sur le terrain, au bénéfice du développement économique des deux pays frères.

 

Tchad : le ministre de la Justice inspecte les bureaux de son département

Youssouf Tom a effectué une visite inopinée dans toutes directions et services de son ministère le 18 décembre 2025.

Le secrétariat général n’a pas été épargné ainsi que l’administration de l’ENFJ, Ecole Nationale de Formation Judiciaire. Toujours ponctuel au cabinet, rapppelle le service de communication, le garde des Sceaux Dr Youssouf Tom, à la surprise générale, a parcouru les marches et arpenté les couloirs de 8H 30 à 10H20 pour visiter tous les bureaux du ministère de la Justice et de l’Administration de l’ENJ.

Certains responsables et agents sont à leurs postes, d’autres absents et des bureaux hermétiquement fermés. Cette descente inopinée dans les bureaux a permis au Ministre de la Justice Youssouf Tom de se rendre compte du non-respect des heures de travail mais aussi de s’enquérir des conditions de travail. Enfin, il a encouragé les responsables et agents qui sont à leurs postes puis a regagné son cabinet. Mais déjà des interrogations taraudent l’esprit de quelques retardataires et absentéistes.

Tchad : les rumeurs d’une grâce présidentielle controversée à l’épreuve des équilibres politiques et sécuritaires

Depuis quelques jours, plusieurs sites d’information, dont ‘’Jeune Afrique’’, relaient des informations selon lesquelles le président tchadien, le maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, envisagerait de décréter une grâce présidentielle générale en faveur des prisonniers politiques. Cette mesure, si elle venait à être confirmée, inclurait deux figures parmi les plus controversées de la scène politique et sécuritaire tchadienne : Succès Masra, ancien Premier ministre et leader du parti ‘’Les Transformateurs’’, arrêté en mai dernier et condamné à 20 ans de prison pour diffusion de messages à caractère haineux et racials, incitation à la rébellion, complicité de meurtre et participation à des violences ayant fait 76 morts à Mandakao ; et l’ex-ministre et directeur de cabinet du président, le général Idriss Youssouf Boy, arrêté en avril et condamné à sept ans de prison pour détournement d’environ 9 milliards de francs CFA (16 millions de dollars) destinés à des projets d’infrastructures dans l’est du pays.

À ce stade, aucune confirmation officielle n’a été apportée par les autorités tchadiennes, et aucune communication formelle du gouvernement n’est venue valider ou infirmer ces informations. Toutefois, la simple évocation d’un tel scénario suscite de profondes inquiétudes quant à ses répercussions sur la stabilité intérieure, la cohésion sociale et la crédibilité diplomatique du Tchad.

Une décision en contradiction avec les efforts de pacification interne

Depuis son arrivée au pouvoir, le président Mahamat Idriss Déby a engagé une politique active de médiation et de réconciliation nationale, visant à désamorcer les foyers de tension et à prévenir les conflits armés internes. Ces efforts se sont récemment matérialisés par plusieurs accords de paix jugés exemplaires.

En septembre 2025, un accord a été signé à Tibesti entre le gouvernement et les comités d’autodéfense, mettant fin aux violences liées à l’exploitation des mines d’or. Il prévoit l’amnistie des combattants, leur réintégration encadrée au sein des forces de défense et de sécurité, ainsi que l’interdiction de tout recours à la violence armée. D’autres accords conclus à Tougui, Bardaï et Mandakao ont permis de restaurer le dialogue entre communautés longtemps opposées, illustrant l’efficacité de la diplomatie intérieure tchadienne.

Dans ce contexte, une grâce présidentielle accordée à des acteurs perçus comme responsables de violences meurtrières ou de tentatives de déstabilisation serait interprétée comme une remise en cause directe de ces acquis fragiles, au risque de raviver les rancœurs communautaires.

Le cas Idriss Youssouf Boy : un risque sécuritaire et facteur d’instabilité pour le pays

Le dossier du général Idriss Youssouf Boy demeure sensible en raison de son statut d’ancien proche collaborateur du chef de l’État et des accusations de détournement de fonds publics qui ont conduit à sa condamnation. Son arrestation avait été perçue comme un signal fort en faveur de la lutte contre l’impunité au sein de l’appareil d’État.

Par ailleurs, la remise en liberté d’une figure accusée d’avoir détourné des fonds publics risquerait d’enflammer l’opinion publique tchadienne, déjà sensible aux questions de gouvernance et de justice sociale, avec des conséquences imprévisibles pour la stabilité du pays.

Succès Masra, un facteur de déstabilisation politique durable

Aux yeux de nombreux observateurs, Succès Masra représente une menace politique d’une autre nature, mais tout aussi sérieuse. Il est accusé d’avoir entretenu des liens avec des acteurs étrangers dans le but de provoquer une rupture violente de l’ordre constitutionnel, notamment lors des événements du 20 octobre 2022, qui ont fait des dizaines de morts et de blessés parmi les manifestants.

Après ces violences, Masra a quitté précipitamment le pays pour les États-Unis, où il aurait bénéficié de l’appui de la représentation diplomatique américaine à N’Djamena pour obtenir l’asile politique. Il y a vécu près d’un an dans des conditions confortables, avant de réapparaître sur la scène politique tchadienne.

Plusieurs analystes estiment que les appels répétés de certaines organisations européennes et de gouvernements occidentaux, notamment la France, en faveur de sa libération, s’inscrivent dans une stratégie visant à faire pression sur le régime Déby, lequel a récemment affirmé sa souveraineté en mettant fin à la présence militaire française et américaine sur son sol.

Des extraits ayant fuité de son ouvrage « Chemin des durs vers la terre promise », rédigé quarante jours après sa défaite à la dernière élection présidentielle, contiennent des attaques virulentes contre le chef de l’État, ainsi que des révélations sur les soutiens politiques, financiers et diplomatiques occidentaux dont il aurait bénéficié depuis octobre 2022 jusqu’à la campagne électorale, un contenu potentiellement explosif pour les autorités tchadiennes.

Conclusion

En définitive, si l’hypothèse d’une grâce présidentielle générale venait à se concrétiser, elle constituerait un pari extrêmement risqué pour le président Mahamat Idriss Déby. En réhabilitant des figures associées à la violence, à la corruption et aux ingérences étrangères, le pouvoir pourrait compromettre les progrès réalisés en matière de stabilité interne, de cohésion communautaire et de crédibilité diplomatique régionale.

Alors que le Tchad s’est progressivement imposé comme un acteur central de la paix au Sahel et au niveau régionale, toute décision perçue comme contradictoire avec cette ligne stratégique pourrait raviver les tensions internes et ouvrir la voie à de nouvelles tentatives de déstabilisation.

Le Cameroun régularise ses cotisations à l’Union africaine

Depuis quelques jours, des informations faisant état de la suspension du Cameroun de l’Union africaine meublent les débats et sont abondamment relayées sur les réseaux sociaux.

Pour éviter que l’image de marque du pays ne soit entachée sur la scène internationale, le ministère camerounais des Finances apporte des clarifications. Dans une correspondance adressée au ministère des relations extérieures, le ministre des Finances présente les détails clés vise à assurer une communication diplomatique cohérente et maîtrisée.

Peut-on lire entre les lignes du document signé par, Yaouba Abdoulaye, ministre délégué auprès du ministre des Finances que le Cameroun a effectivement eu un retard de paiement des contributions statutaires d’environ 2,8 millions de dollars (1,6 milliard de FCFA.) Une situation qui exposait temporairement le pays à des sanctions dites préventives, lesquelles ne constituent ni une : « suspension effective ni une exclusion » précise le ministère.

Le ministère des Finances rassure que le Trésor public a émis deux ordres de transfert totalisant 1,052 milliard de FCFA (environ 1,85 million de dollars). Ces paiements ont permis la levée immédiate des sanctions préventives évoquées dans la correspondance du 13 octobre 2025. Une autre correspondance de l’Union africaine précise que le solde restant dû est désormais de 955 639,91 dollars (544 millions de FCFA), sans mention d’aucune sanction rattachée à ce montant, insiste-t-il.

Le ministère des Finances dément les informations relayées sur les réseaux sociaux en précisant qu’elles sont inexactes, infondées et de nature à porter atteinte à l’image et à la crédibilité de l’État.

 

Tchad-France : signature d’un nouvel accord de coopération sanitaire entre les deux pays

Le ministre de la santé publique et de la prévention, Dr Abdelmadjid Abderahim a signé ce mercredi avec l’ambassadeur de France au Tchad, un accord de renouvèlement du dispositif d’assistance technique existant depuis 2019.

S’en est suivie la remise par l’ambassadeur au ministre, de la copie du projet de coopération financé par la France à hauteur de 4,6 milliards de francs CFA pour une durée de quatre ans.

Cet investissement vise à renforcer les compétences et l’organisation du personnel de santé et à contribuer à la modernisation et à la formation des écoles de santé.

S’agissant du renouvellement du dispositif d’assistance technique mis en œuvre par Expertise France, permet d’accompagner le ministère de la santé publique et de la prévention dans la gestion des subvenions du Fonds mondial et l’alliance du vaccin, pour mettre en œuvre les programmes de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.

Quatre assistants techniques sont insérés à cet effet, au sein de l’Unité de Gestion des projets, UGP.

L’ambassadeur de France au Tchad, Eric Gerard, a indiqué que les réformes engagées par le ministère de la santé publique et de la prévention, sont essentielles et son pays est disposé à soutenir ces efforts, notamment ceux axés sur le renforcement des ressources humaines, indispensables pour redynamiser le système de santé.

Cet appui important a dit le diplomate, consiste aussi à renforcer l’autonomie du ministère dans la mise en œuvre de ses actions relatives à l’amélioration de la qualité des soins de santé primaire.

Le ministre de la santé publique et de la prévention Dr Abdelmadjid Abderahim, a adressé ses reconnaissances à la France pour ses appuis multiples au système de santé. Il a tenu à faire remarquer que les ressources humaines sont le soubassement du système de santé.

Le ministre de la santé publique et de la prévention a souligné que les plus hautes autorités du pays, sous le leadership du Président, Marechal Mahamat Idriss Deby Itno accordent toute l’attention au système de santé pour le rendre résilient, performant et capable de repondre aux sollicitations des populations dans l’equité et l’égalité.

Le ministre a remercié les techniciens de deux parties et invité chacun au dévouement pour le succès des activités planifiées et mentionné l’importance du transfert des compétences aux cadres nationaux pour pérenniser les acquis.

Ministère de la santé

Tchad : opération de sensibilisation pour la libération des espaces publics à N’Djamena

La commune de la ville de N’Djamena, à travers la commission Dégagement, a conduit ce mardi 16 décembre 2025 une vaste campagne de sensibilisation visant à lutter contre l’occupation anarchique des espaces publics.

Placée sous la conduite du secrétaire de séance, Adoum Ali Adoum, par ailleurs président de la Commission Dégagement, cette opération s’est déroulée en présence de plusieurs cadres de la mairie. Elle a ciblé principalement les propriétaires de garages, de menuiseries, d’ateliers et d’autres activités commerciales installés de manière irrégulière sur les voies et espaces publics.

Cette campagne a mis en lumière les conséquences néfastes de l’occupation anarchique, notamment l’entrave à la circulation des personnes et des véhicules, l’insécurité routière, la dégradation de l’environnement urbain ainsi que l’atteinte à l’ordre public. Les équipes de la Commission ont également insisté sur l’importance du respect des règles d’urbanisme et de la cohabitation harmonieuse dans l’espace urbain.

Au cours des échanges, les occupants concernés ont été sensibilisés à la nécessité de libérer volontairement les espaces publics, conformément aux textes en vigueur, afin de contribuer à l’amélioration du cadre de vie des populations et à la modernisation de la ville.

À travers cette action, la commune de la ville de N’Djamena réaffirme sa détermination à restaurer l’ordre urbain, tout en privilégiant le dialogue et la pédagogie. Elle invite l’ensemble des citoyens à faire preuve de civisme et de responsabilité collective pour une ville plus propre, plus sûre et mieux organisée.

Source : Mairie

Tchad : N’Djaména mise sur l’anticipation pour éviter les inondations

Le délégué de l’Action sociale, de la Solidarité et des Affaires Humanitaires de la ville de N’Djamena, a procédé au lancement du projet « Assistance anticipatoire aux populations des communes à risque d’inondation dans la ville de N’Djamena ».

Mis en œuvre par le consortium Tearfund – CECADEC, avec le soutien du Fonds Humanitaire Régional de l’Ouest et du Centre (FHRAOC), le projet couvre les 1er, 7ᵉ et 9ᵉ arrondissements pour une durée de six (06) mois. Dans son allocution, le délégué a rappelé que les inondations de 2022 et 2024 ont durement éprouvé la ville de N’Djamena, causant d’importantes pertes humaines et matérielles, d’où la nécessité d’agir en amont à travers des actions anticipatoires et structurées.

Le projet apportera une assistance intégrée à 2 697 ménages, soit 11 874 personnes vulnérables, à travers des transferts monétaires, l’amélioration de la résilience des abris et le renforcement de la sécurité alimentaire, tout en consolidant les capacités de prévention et de préparation des communautés.

Le département remercie le FHRAOC/OCHA, les mairies concernées, ainsi que l’ensemble des partenaires techniques et humanitaires pour leur accompagnement constant.

 

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