Tchad : 77% des prisonniers de la maison d’arrêt de Pala libérés

Au total, 88 des 114 condamnés de la maison d’arrêt de Pala, ont bénéficié de la grâce présidentielle, soit 77% des détenus, tandis que les 26 autres détenus encore incarcérés ont bénéficié d’une réduction de peine.

Le gouverneur de la province du Mayo-Kebbi ouest, Weiding Assi Assoue a présidé la semaine dernière la cérémonie de remise de peine aux prisonniers de la maison d’arrêt de Pala. Les détenus libérables ont été réunis au Tribunal de grande instance de Pala, habillés à l’identique d’un polo à bandes blanches et noires. Le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Pala, Adil Mana Bachar, a procédé à la lecture du décret portant remise de peine.

« Le chef de l’Etat tire le droit de dispositions constitutionnelles qui annoncent que le Président de la République dispose de la faculté de pardonner à tout être humain qui est jugé. Ces textes ne consacrent pas l’impunité. Au contraire, ils garantissent la justice », a précisé le procureur de la République.

Le gouverneur de la province a conseillé aux 88 personnes libérées de faire usage de la force de leurs bras pour travailler la terre et gagner honnêtement leur vie. « Vous avez dans cette province beaucoup de choses à entreprendre, surtout dans cette contrée où la province offre autant d’emplois, même ne serait-ce que pour aller dans les champs miniers, rendu possible dans tous les départements de la province du Mayo-Kebbi Ouest, ou encore solliciter les crédits de l’ONAPE pour l’agriculture par exemple, le terrain est favorable », a déclaré le Général Weiding Assi Assoue.

Les détenus libérés ont exprimé leurs profonds remerciements aux autorités. Ils ont chacun reçu leur ordre de remise en liberté. Le chef de l’Etat a accordé le 4 mars dernier une remise de peines à tous les condamnés, par un décret n° 290.

Tchad : Patricia Nguémta élue Miss Tchad 2019

L’élection Top Model Tchad s’est déroulée le samedi 06 avril lors d’une cérémonie qui a réuni de nombreuses personnes au Selesao. La jeune femme qui a séduit le jury cette année est Patricia Nguémta.

Devenue une valeur sûre dans la détection de nouveaux talents du mannequinat tchadien, le concours Top Model Tchad a tenu ses promesses ce samedi. Une soirée organisée au Selesao à laquelle était présents, le gratin de la culture tchadienne mais surtout la Miss Tchad 2019, la Top Model Tchad 2018 et la Miss green Cemac 2019, invitée d’honneur.

Le représentant du ministre en charge de la Culture n’a d’ailleurs pas manqué de le mentionner : « Top model Tchad est devenu le plus grand rendez-vous entre le mannequinat, l’art musical et les acteurs de la scène culturelle du Tchad. » Il a ajouté que ce concours est un véritable accélérateur de carrière puisqu’il a propulsé au rang de mannequin international de nombreuses jeunes femmes tel que Brigitte Tchanagué et Pulcherie Koibla.

Quatorze jeunes femmes ont candidaté pour cette 7e édition placée sous le thème « Mode et écologie ». Au cours de cette soirée et au fil des sorties des candidates, le jury et le public ont pu juger, l’élégance, l’allure et l’expression du visage qui sont entre autres les critères de sélection de ce concours de mannequinat. Ils ont également pu apprécier les défilés de jeunes talent du stylisme africain notamment Aroni couture.

La gagnante de cette 7e édition de Top model Tchad sera directement qualifiée pour le concours de Miss green Cemac. Ainsi, celle qui a retenu toutes les attentions notamment celle du jury présidé par Brigitte Tchanagué lors de cette cérémonie, a été Patricia Nguémta. La deuxième et la troisième marche du podium, sont respectivement attribuées par le jury à Leaticia Yamta et Cynthia Madjiré.

«  J’ai été surprise et émue en même temps parce que parmi toutes ces filles c’est moi que le public et le jury ont jugé digne d’être la top Model 2019. Je tiens de tout cœur à remercier tout le monde et à encourager les candidates malheureuses », a déclaré Patricia Nguémta.

La soirée de Top model Tchad a été teintée de quelques prestations musicales et surtout celle de l’artiste invité, la signature de Big Dream, KO-C. La révélation de la musique urbaine camerounaise est venue clore la soirée juste avant l’annonce des résultats du concours Top model Tchad.

Tchad : la CASAC appelle au changement de comportement pour la préservation de la paix

La coalition des associations de la société civile pour l’action citoyenne  (CASAC)  a organisé une campagne de sensibilisation dimanche le 07 avril, au Palais du 15 janvier de N’Djamena. La question de la préservation de la paix au Tchad a été le leitmotiv de cette rencontre de sensibilisation.

La grande salle de spectacle du Palais a fait son plein œuf le 7 avril 2019. C’est en présence des jeunes venus de dix arrondissements de N’Djamena, qui résume le Tchad en miniature, que la campagne de sensibilisation pour la paix et la stabilité a été organisée. Ces jeunes, scandant et chantant vive la paix, dans une ambiance électrique, sont l’image d’un peuple dévoué à la cause de la paix.

En organisant une telle campagne, la CASAC veut mettre en avant les valeurs de la paix sans lesquelles le développement ne peut être possible. « Est-il besoin de rappeler les vertus de la paix, quand on sait que sans elle, aucun développement ne verra le jour ? La paix vaut autant que toutes les autres contingences, c’est pourquoi, nous demandons  à tout un chacun de prêcher perpétuellement les valeurs de paix partout où il se trouve », a déclaré Mahamoud Ali Seid, président de la CASAC.

Le président de la CASAC n’a pas manqué d’interpeller le peuple tchadien au changement de comportement pour faire régner dans les différents milieux de vie. « Les Tchadiens et les Tchadiennes sont tous interpellés par rapport au changement de comportement et à l’éveil des consciences qui seront indiscutablement le soubassement salvateur du Tchad de demain. Nous devons aussi tous réfléchir à nous détacher des idées préconçues et stéréotypées, et nous devons aussi changer d’approche. »

Par cette action, la CASAC réaffirme son engagement à soutenir toutes les initiatives relatives à la paix au Tchad. Par ailleurs, la CASAC apporte son soutien au gouvernement dans sa quête de paix.

 

Tchad : plus de 2 500 candidats composent l’examen de certification des diplômes de santé

Les étudiants des écoles privées et publiques de santé ont composé samedi le 06 avril, l’examen national de certification des diplômes professionnels des agents sociaux et sanitaires. Cet examen est une innovation du ministère en charge de la santé depuis quelques années.

Ils sont plus de 2 600 candidats qui ont composé, le 06 avril,  l’examen national de certification des diplômes professionnels des agents sociaux et sanitaires sur toute l’étendue du territoire national. Ce sont les infirmiers d’Etat, les agents techniques de la santé et autres travailleuses et travailleurs sociaux qui composent cet examen.

Sarh, Biltine, Moundou, Abéché et N’Djamena sont entre autres les cinq centres où l’examen se déroule. A N’Djamena, c’est le secrétaire d’Etat à la Santé publique, Mahamat Nour Wadak, qui a lancé les épreuves. Selon lui, le choix de ces centres consiste à faire preuve de la transparence. « C’est un concours est un passage obligé pour tous les étudiants des écoles de la santé du pays, s’ils veulent avoir des diplômes digne de ce nom », déclare Nediguim Issaka Abdel, coordinateur national des écoles de santé  au Tchad. En plus de valoriser les diplômes, l’examen national de certification des diplômes professionnels des agents sociaux et sanitaires donne enfin une certaine crédibilité aux écoles privées de santé qui ne cessent d’être décriées par rapport à la qualité de leur formation.

 

Tchad : quand la couverture santé universelle devient une charge lourde à porter

En prélude de l’édition 2019 de la journée mondiale de la santé, une conférence a été organisée le samedi 06 avril 2019, par la cellule interministérielle de coordination de la stratégie nationale de la couverture sanitaire universelle au Cefod, sous le thème : « Couverture santé universelle : défis et perspectives ».

C’est depuis 2011 que l’on cherche à l’appliquer au Tchad mais sa réalisation n’est pas chose aisée. Le pays reste jusqu’à présent sans couverture santé universelle. Pourtant l’urgence est signalée. Rares sont les citoyens qui ont accès aux services de soins de qualité. Selon les chiffres du ministère de la Santé publique, sur 1 000 naissances au Tchad, l’on compte 102 décès. Mais cela n’est qu’un cas illustratif.

Le développement d’un pays passe nécessairement par la santé de ses populations, telle est l’idée qui a amené l’Organisation mondiale de la santé à accompagner les pays en voie de développement comme le Tchad dans la réalisation de la couverture de santé universelle. « La couverture de santé universelle répond à un objectif de politique, de santé et de développement d’un pays », explique le directeur général du ministère de la Santé, Rohinga Laou Ndodou, lors d’une conférence organisée ce 06 avril en prélude à la journée mondiale de la santé.

Les obstacles liés à la couverture santé universelle au Tchad

Au Tchad, la plupart des localités ne disposent pas de centre de santé. Malgré les efforts fournis par le gouvernement depuis quelques années, la situation reste toujours alarmante et l’on ne cesse de parler de l’iniquité dans les structures de soin. La prise en charge sanitaire des populations pauvres est un grand défi pour le pays. « L’hôpital n’est pas fait pour nous les pauvres », disent habituellement la majorité des tchadiens.

En plus du nombre insuffisant des structures sanitaires, il y a le problème de conscience professionnelle et de compétence des professionnels de la santé. « Ici au Tchad, je connais les médecins qui sont plus agressifs que les maladies elles-mêmes », témoigne un citoyen.

Des efforts sont à signaler

En dépit de ces problèmes qui obstruent la réalisation de la couverture de santé universelle au Tchad, il faut cependant savoir que le pays a pu faire des efforts pour permettre aux populations démunies d’avoir accès aux soins améliorés. Ces efforts sont visibles dans le traitement du VIH, de la tuberculose et du paludisme, etc. Mais comment faire pour que tous les citoyens aient accès aux services de santé de qualité demeure un grand défi pour le pays. La résolution de ce défi signifie la mise en application de la couverture santé universelle au Tchad.

 

Tchad : les cadres des ministères formés à la protection de l’environnement par l’UICN

Les cadres du ministère en charge de l’Education  nationale et ceux de l’Environnement, des Eaux et de la Pêche sont formés, à travers un atelier qu’organise l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) du 4-5 avril, pour être des formateurs au sujet de l’éducation au changement climatique pour le développement durable.

C’est à la faveur d’un atelier de formation des formateurs qui se tient du 4 au 5 avril, dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Amélioration  de l’information, éducation et communication des populations rurales et périurbaines à l’adaptation aux changements climatiques » que les cadres du département en charge de l’Education nationale et les techniciens de l’environnement entendent renforcer leurs capacités.

Organisé par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), ces assises visent à outiller les participants au sujet de l’éducation environnementale qui fait suite au processus d’élaboration du manuel d’éducation au changement climatique pour le développement  durable au Tchad, conçu pour la cause.

A la fin de cette  formation, les participants qui sont en majorité des enseignants des lycées, collèges et du primaire seront amenés à améliorer les méthodes d’apprentissage et d’enseignement aux enfants et aux jeunes, la nature et les enjeux liés au changement climatique.

Tchad : validation du bilan des activités économiques présenté par l’INSEED

L’Institut national de la statistique, des études économiques et démographiques a présenté, au cours d’un atelier, le bilan des activités économiques des trois  dernières années du Tchad. Ce bilan des comptes nationaux 2017 a été validé par l’assemblée.

Ouverts par le directeur général du ministère de l’Economie et de la Planification du développement, Houlé Djonkamla, les travaux de l’atelier de validation des comptes nationaux définitifs 2017, présentés par l’INSEED, visent  à dresser le bilan des activités économiques des trois dernières années afin de mettre en balance les avancées, les failles, les perspectives, et d’avoir un regard prospectif dans le processus entamé par l’INSEED depuis quelques années.

« Un grand chantier est ouvert dans le cadre de la production des fonds nationaux. Ces travaux exigent des données de qualité par branche d’activité, secteur institutionnel en terme de production, de consommation, d’investissement, d’importation, d’exportation et d’emploi », a déclaré Nour Goukouni Nour, directeur général de l’INSEED. Une baisse de 1,9% de l’économie tchadienne a été constatée en 2017, après une décroissance de 2,6% enregistrée en 2016. Cette situation s’explique en partie par les faibles performances du secteur primaire (-4,1%) et tertiaire (-1,1%). En revanche, le secteur secondaire a enregistré une croissance de 2,5%.

« L’INSEED s’est engagé à rattraper le retard accusé dans la production de ces comptes. Cet engagement soutenu par les plus hautes autorités du pays a permis d’arriver à ces résultats », a souligné le directeur général du ministère de l’Economie et de la Planification du développement, Houlé Djonkamla. D’après lui, pour mieux estimer la contribution de chaque secteur à l’économie, il est indispensable que tous les secteurs puissent fournir les données nécessaires. Les techniciens en charge de la comptabilité des différents ministères sectoriels ont apporté des éclaircissements afin de parvenir à une meilleure harmonisation des comptes.

Des défis en matière de comptabilité 

D’après le ministère de l’Economie et de la Planification du développement, plusieurs chantiers s’inscrivant dans un schéma de la maitrise du contexte macroéconomique sont actuellement en cours. Il s’agit notamment des travaux liés au changement de l’année de base et du passage au système de comptabilité national. Ces travaux qui sont soutenus  techniquement et financièrement par la Banque mondiale et le FMI demandent la participation de tous les acteurs fournisseurs et utilisateurs des données.

Tchad : les Sao dames joueront leur qualification face aux Algériennes à N’Djamena

L’équipe nationale de football, version féminine, participe aux éliminatoires des Jeux olympiques de Tokyo 2020. Elle jouera son match retour à N’Djamena le 09 avril, après avoir perdu le match allé à Alger.

Les dames Sao affrontent les fennecs algériens, le 09 avril à N’Djamena.  Une confrontation qui s’inscrit dans le cadre des éliminatoires des jeux olympiques de Tokyo, Japon 2020.

À N’Djamena, au stade Idriss Mahamat Ouya, elles recevront les Algériennes comptant pour le match retour. Déjà à l’aller, les dames Sao ont perdu (2- 0) face à leur adversaire. Un résultat jugé passable à N’Djamena.

Les joueuses auront pour mission de renverser la tendance à ce match.  Principalement, il faudra faire concéder à l’équipe algérienne (3 – 0) buts sans encaisser le moindre but pour se qualifier directement.

Un défi possible d’après le staff tchadien qui croit aux talents des dames Sao.

Musique : l’artiste Melodji en concert ce soir à l’Institut Français du Tchad

Mais en prélude au lancement de son deuxième album, Melodji sera en concert ce vendredi 5 avril à l’IFT (Institut français du Tchad). A cet effet, elle a livré une interview menée par Tchadinfos et repris par journaldutchad.

Bonjour Melodji, parlez-nous un peu de cet album qui va sortir.

Bonjour ! C’est mon deuxième album, il est intitulé « Dream » et il sortira entre fin avril, début mai. Il n’y a pas encore de date. L’album a été enregistré à N’Djamena, Paris et Yaoundé. Il nous a fallu presque un an.

Pourquoi avoir attendu tout ce temps pour ce deuxième album ?

J’ai attendu longtemps par rapport aux moyens d’abord parce que je n’ai pas assez de moyens pour faire mon deuxième album et je n’avais pas de producteur. J’ai rencontré mon nouveau producteur, c’est lui qui m’a aidée à faire mon album. Sur le premier album, je me suis débrouillée seule pour le faire mais maintenait avec la crise ce n’est pas évident. Tu ne peux pas être seule pour faire de la musique. Dieu merci j’ai un nouveau producteur et un nouveau manager. C’est peut-être eux que j’attendais pour ce nouvel album.

Qu’est-ce que vous nous proposez de nouveau dans cet album ?

J’ai changé vraiment de style. Avant j’étais plus dans de la musique traditionnelle mais dans cet album, mes mélomanes trouveront du RnB, de la Soul, du Reggae. Je mélange tout. En fait, dans mon nouvel album, tout le monde peut s’y retrouve. Des jeunes peuvent s’y retrouver, des personnes âgées aussi.

Pourquoi avoir opté pour ce changement de style ?

Parce que je vise l’international (Rires). Quand tu fais la musique traditionnelle, oui c’est bien, c’est beaucoup apprécié ailleurs. Par exemple lors des festivals où je suis invitée à prester, les gens aiment parce que c’est du jamais vu. Mais la nouvelle tendance, beaucoup d’artistes l’adoptent donc je m’y suis mise aussi parce que je veux aussi être dans cette tendance. Juste mélanger de style et sortir un peu de ma zone de confort pour voir ce que ça donne.

Il y a quand même des titres d’inspiration traditionnelle dans cet album ?

Oui. Dans cet album on trouve tout. J’ai proposé une palette de musique traditionnelle et moderne.

Pour finir, pourquoi vous n’étiez pas présente lors du concert de votre groupe « Matania » ?

C’est parce que j’ai été nominée pour les Canal d’or, je devais y aller. Elles m’ont appelée et je leur ai dit que je devais aller au Canal d’or. Je prépare mon album et mon concert. Alors qu’elles me laissent le temps de faire tout ça peut-être que je serais là la prochaine fois.

 

Tchad : le ministère de l’Elevage interdit la vente illicite des produits vétérinaires animaliers

Le ministre de l’Elevage et des Productions animales, Gayang Souaré a tenu le mercredi 3 avril la 9ème réunion mensuelle sur la santé animale, en présence des techniciens du département et des partenaires.

Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour : le compte-rendu de la 8ème réunion mensuelle sur la santé animale, la présentation de la situation zoo-sanitaire du mois de mars et la présentation des actions mises en œuvre qui découlent de la précédente réunion sur la santé animale.

La directrice des services vétérinaires, Dr. Nodjimadji Rirabé, a fait un exposé de la situation sanitaire devant les participants. Les multiples campagnes de sensibilisation initiées en faveur des éleveurs ont porté leurs fruits, la situation étant désormais « sous contrôle ».

La vente illicite des produits vétérinaires demeure une préoccupation majeure, selon un rapport du ministère. Le ministre de l’Elevage et des Productions animales, Gayang Souaré a appelé à la fermeté face à cette situation. Il a précisé qu’une situation probante des établissements de vente des produits vétérinaires doit être faite, (que) des missions d’inspection et de contrôle seront organisées dans tout établissement qui n’est pas en règle dans les normes et (que) les établissements dont les ouvertures ne sont pas effectives verront leur agrément retiré.

Une sensibilisation accrue pour la vaccination

L’Etat et ses partenaires ont lancé des campagnes de vaccination afin de protéger les troupeaux mais font face aux réticences de certains éleveurs.  La Banque mondiale, à travers le Projet régional d’appui au pastoralisme, a mis en place des campagnes de vaccination au Tchad pour protéger les troupeaux d’animaux contre les maladies et renforcer le secteur de l’élevage.

Des fausses rumeurs

Des fausses rumeurs ont circulé selon lesquelles les vaccins tueraient les animaux. Le président de la Confédération interprofessionnelle de la filière élevage a démenti ces informations et a rassuré les éleveurs que les vaccins ne présentent aucun danger pour la santé des animaux.